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Je l'ai enfin reçue hier, une DCC900 absolument NEUVE dans sont emballage d'origine, une chance inouie sur la Baie ! ! !
Je l'écoute pour l'instant et je dois dire que le MD est battu (bien que j'aime beaucoup le côté pratique de ce système), j'en suis encore sur le c*l
Voici un lien qui en parle (en Anglais) beaucoup mieux que moi et avec tous les détails, un site vraiment bien fait sur cette invention qui malheureusement n'a pas fait de vieux os, comme pas mal d'autres d'ailleur, mais bon, c'est comme ça, ça prend ou pas ! ! !
Je ne sais absolument pas de quelle année elle date, mais j'ai tout de même vérifié les circuits (condos souvent en fuites), ici tout semble parfait......jusqu'ici.
PS: une petite question, par le numéro de série ou le modèle y a t'il moyen de dater cette platine ?
Belle bête !
J'ai jamais été intéressé par le DCC et le MD à cause de la compression du signal numérique, je préfère le DAT qui lui est un format sans compression.
Par contre, je pense que le DCC est nettement plus robuste que le MD car la partie mécanique est dérivée de la compacte-cassette (compatible avec celle-ci en plus ), le MD quant à lui est à mon avis trop fragile puisque il est dérivé du CD-RW, il résiste mal aux vibrations et n'est réenregistrable qu'une dizaine de fois.
J'ai eu quelques baladeurs MD entre les mains et j'ai eu beaucoup de problèmes d'enregistrement (saturation énorme, message d'erreur pour un oui ou pour un non).
Voici une partie de la "traduction" (veuillez m'excuser si elle comporte des fautes, vous pouvez les corriger sans problème, d'avance merci) :respect:
La vitesse de la bande de DCC est la même que pour les cassettes analogiques: 1 7/8 pouces (4,7625 cm) par seconde, et les bandes des cassettes DCC qui ont étés utilisées sont de la même largeur que les cassettes analogiques: 1/8 de pouce (3,175 mm).
La bande qui a été utilisée dans des cassettes de production est le dioxyde de cobalt-chrome ou dopé ferrique-oxyde, um d'épaisseur 3-4 dans une épaisseur de bande totale de 12 um, identique à la bande qui a été largement utilisée pour les cassettes vidéo.
Bien que Philips avait utilisé de la haute qualité lors du développement des cassettes audio.
En raison de la vitesse de la bande basse et l'ensemble de la tête immobile, la gamme de fréquences et donc le débit atteignable est limité.
Afin d'atteindre un débit qui a été suffisant pour l'enregistrement audio, neuf têtes ont été utilisées pour lire / écrire la moitié de la largeur de la bande, l'autre moitié de la largeur a été utilisé pour le B-side.
Huit de ces pistes contenant des données audio, la neuvième piste est utilisée pour la synchronisation et les informations textuelles ainsi que des marqueurs pour indiquer le début d'une chanson ou la fin d'un enregistrement.
La capacité (théorique) d'une bande de DCC est de 120 minutes, comparativement à 3 heures pour les DAT, cependant aucune des cassettes de 120 minutes n'a jamais été produite.
En outre, en raison du passage à la face B, il y aurait toujours une interruption dans le son à la fin de la face A, de sorte que le maximum de temps théorique d'enregistrement en continu est de 60 minutes.
Les enregistreurs DCC peuvent enregistrer à partir de sources numériques qui utilisent le standard S/PDIF, à 32 kHz, 44,1 kHz ou 48 kHz, ou ils pouvaient enregistrer à partir de sources analogiques à 44,1 kHz.
Philips a utilisé un codec de compression audio basé sur le MPEG-1 Audio Layer I (MP1) et appelé PASC (Adaptive précision en sous-bandes de codage).
Le PASC abaisse le débit typique d'un enregistrement CD d'environ 1,4 mégabits par seconde pour le bitrate beaucoup plus faible de 384 kilobits par seconde, un taux de compression d'environ 4:1.
Le schéma de compression PASC a cru donner une meilleure qualité audio que la compression ATRAC 5:1 utilisé par le MiniDisc, mais pas aussi bon que le DAT non compressé, bien que les deux Philips et Sony a indiqué la différence était imperceptible à l'oreille des auditeurs (comme fichiers MP3 ou AAC aujourd'hui).
En plus de stocker les données dans un format compressé, le PASC a également fourni une redondance en ajoutant CIRC (Cross Interleaved Reed-Solomon Code) bits pour la détection et correction d'erreurs, et par la diffusion des données à travers les pistes de ce que Philips appelle un «damier».
Selon le site Internet de Philips, il était possible pour un enregistreur de DCC pour récupérer toutes les données manquantes hors d'une bande, même si l'une des 8 pistes audio a été complètement illisible, ou si toutes les pistes étaient illisibles pour 1,45 mm (environ 0,03 secondes)
Modifié en dernier par Yves le ven. 2 sept. 2011 13:03, modifié 1 fois.
chris a écrit :Indispensable pour un collectionneur d'appareils PHILIPS !! Yves :helloman: , bravo pour ce choix et achat d'un appareil quasiment neuf la classe
chris a écrit :Indispensable pour un collectionneur d'appareils PHILIPS !! Yves :helloman: , bravo pour ce choix et achat d'un appareil quasiment neuf la classe
), le MD quant à lui est à mon avis trop fragile puisque il est dérivé du CD-RW, il résiste mal aux vibrations et n'est réenregistrable qu'une dizaine de fois. 
