Les chansons tristes, émouvantes...

[dylanjumpman]

[nan 63]

Une simple mélodie suffit parfois

[SargentRay]

Skinny Love, écrite par Justin Vernon pour son band folk: Bon Iver en 2007, mais reprise par Birdy entre autres:



Excellente chanson à mon humble avis ou les paroles laissent place à plusieurs interprétations quant au sens que l'auteur a voulu donner au texte. Il dira en entrevue que c'est une chanson d'amour (bien sur mais encore) mais qui parle d'un amour impossible et insoutenable. Il en dira simplement: "it's about that time in a relationship that I was going through; you're in a relationship because you need help, but that's not necessarily why you should be in a relationship. And that's skinny."

La beauté de cette pièce réside qu'à l'écoute on peut lui prêter justement plusieurs sens et références personnelles.

Lors de l'audition de Bella Ferraro à l'émission XFactor en 2012, elle choisira d'interpréter cette chanson à sa façon bien personnelle, capitalisant sur les longs silences vocaux créant des "Build up" émotifs très efficaces pour cet air mélancolique mais oh combien intense.

Bien sur les Américains fidèles à leur style autant cinématographique que vidéographique, nous dicteront au travers d'une introduction mélodramatique et des plans dans le genre "reactions shots" de la mère dans la foule, notre façon de penser (Yvon serait fier de moi avec cette analyse). Mais n'en demeure pas moins qu'avec une si belle chanson et une chanteuse nerveuse mais déterminée à réaliser le rêve d'une vie, la table est dressée pour une performance à dresser le poil et donner le frisson. Remarquez vers la fin de la chanson à quel point le micro tremble dans sa main.

L'introduction en effet raconte que la jeune chanteuse de 18ans n'en pouvant plus a abandonné ses études deux mois auparavant et sa mère qui a finit par s'y résigner décide d'accompagner et d'encourager sa fille dans sa quête.

Cela donne lieu à plusieurs niveaux d'émotivité;

1-) D'abord l'appréciation de la pièce elle même, admirablement bien interprétée dans le contexte d'une audition.
2-) Ensuite l'appréciation du support maternel inconditionnel, qui serre la gorge des moins émotifs d'entre nous.
3-) Enfin le transfert d'affect (émotif) qui prend place pour ceux qui sont parents eux même et veulent le bien être de leurs enfants dans l'accomplissement de leurs rêves quels qu'ils soient.

Bon visionnement et bonne écoute.

[J-M]

Peter Gabriel : Father son.

[Satchmo]

Une reprise de Michael Hurley par Chan Marshall (Cat Power)



L'original:

[SidSmith]

Pour la pop, en voici une belle :



Et surtout celle-là, je ne peux m'empêcher d'avoir la larme à l'oeil tellement c'est beau, c'est déchirant, c'est féérique...l'émotion est si juste et si grande !

Vous voulez savoir pourquoi il faut un bon système, pour savourez ce genre d’œuvre.

[Jlnbrhn]

La valse - Les négresses vertes

La valse - Les négresses vertes

[excalybur]

Je vote pour "avec le temps" de Léo Ferré !

[Teenarcher]

Je sais pas si on peut classer celle ci dans la tristesse, plutôt la nostalgie peut être




Celle ci sent le vécu, magnifique et émouvante



et une dernière avec le magnifique solo de Schenker

[Tiamat]

Quelques petits extraits intemporels en vrac qui m'émeuvent à chaque écoute par leur côté mélancolique, dépressif voire tourmenté.
La beauté du spleen !

Current 93 avec la voix de David TIBET






Lacrimosa


Dead Can Dance, incontournable !


Lisa Gerrard :


Molly Nilsson


Torgny





Bande son extraite d'un de mes films préférés :

- Noia


- Moderat


- Craig Armstrong


Biolay


Daniel DARC


Maissiat