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kiki25
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Re: Ce que vous écoutez en ce moment

Message par kiki25 »

Ta femme n'aime pas le jazz ?
Corinne
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Pougatchoff
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Re: Ce que vous écoutez en ce moment

Message par Pougatchoff »

Ohm Sweet Ohm
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Charly
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Re: Ce que vous écoutez en ce moment

Message par Charly »

kiki25 a écrit : mer. 31 oct. 2018 18:38 Ta femme n'aime pas le jazz ?
Désolé, je n'avais pas vu ta question avant...

En général, elle préfère faire la musique (elle fait un peu de piano) que l'écouter. Même aller aux concerts ne l'intéresse pas plus que cela... :spamafote: (Mais elle a d'autres qualités !!)
Donc en son absence, je peux mettre la chaine avec un niveau sonore de concert et profiter de l'écoute !

Charly
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Lioga
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Re: Ce que vous écoutez en ce moment

Message par Lioga »

Et donc à chaque fois ça te coute 50 cts !
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Lioga
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Re: Ce que vous écoutez en ce moment

Message par Lioga »

Pour Jo775 ....
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Texas Rangers
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Re: Ce que vous écoutez en ce moment

Message par Texas Rangers »

Bonjour tout le monde ! :hello:

Ronald Mehu n’a pas encore choisi de pseudonyme. A Paris, au début des années 60, il hante le Drugstore des Champs Elysées et le Golf Drouot.
Henri Leproux lui permet de signer un contrat avec le label Decca. Nous sommes en 1964 et Ronald Mehu choisit de s’appeler Ronnie Bird.
Deux EP plus tard, (« Adieu à un ami », « L’amour nous rend fou »), il jouit d’une certaine renommée. Mais c’est en 1965, à partir du 3ème que l’oiseau prend son envol.
« Elle m’attend » (version française de « The last time » des Stones) ouvre le bal, bientôt suivi par « Fais attention » (« Find my way back home » des Nashville Teens).

« Adieu à un ami » un hommage à mon rocker préféré : Buddy Holly


Mais je préfère la version originale :
« Tribute to Buddy Holly » par Mike Berry § the Outlaws en 1961


Habillé comme un Mod, coiffé comme Brian Jones, plus anglais que nature, Ronnie Bird fait sensation. On loue son talent, on salue ses choix musicaux exigeants. Un cinquième EP, « Où va-t-elle ? » (« Come on back » des Hollies), vient brillamment conclure l’année.

Mais il est trop tard.

1966 est une année charnière qui voit l’apparition de nouveaux styles musicaux. Tout s’emmêle, tout s’entrechoque. Le « dégagisme » ne date pas des dernières élections présidentielles.
Il y a les Troggs, le Spencer Davis Group, les labels Stax, Tamla Motown, l’hégémonie britannique secouée comme un prunier, « Rubber Soul » qui marque la rupture avec les mélodies innocentes que le Sergent Poivre et ses cœurs solitaires enterrera, les hippies qui s’apprêtent à remplacer les beatnicks tout juste débarqués en France avec Antoine et Michel Polnareff, Jacques Dutronc qui profite de la verve de Jacques Lanzman pour lancer la mode iconoclaste, etc ….

Que celles et ceux que les longues phrases épuisent ou rebutent veuillent bien me pardonner, mais l’actualité musicale était trèèèès dense à cette époque là. Ça sortait de partout !!
Les vieux schémas volent en éclats et c’est la raison pour laquelle, Ronnie Bird connaît dès lors le déclin.
Manque de charisme, pas assez différenciant, trop axé sur les reprises, les motifs sont sans doute nombreux et d’ailleurs communs à ses copains de régiment comme Noël Deschamps, dont la trajectoire est quasiment identique.

Toujours est-il, que Ronnie Bird fera bien ce qu’il pourra jusqu’en 1969.

Sur base de Troggs ("I can only give you everything"), il joindra ainsi en 1966 son coup de gueule ("Chante") à celui de Johnny Hallyday (« Cheveux longs, idées courtes ») contre le chanteur Antoine qui imaginait enfermer ce dernier dans la cage d’un cirque (« Chante » / « Cheveux longs, idées courtes »), s’essaiera aux textes coquins en 1968 (« Le Pivert ») et jouera même dans la comédie musicale « Hair » au Théâtre de la Porte St Martin à Paris de 1969 à 1972.

Toutefois, étant aussi parolier (comme Eddy Mitchell), notre ami Pierrot usera de sa plume pour écrire « Precious thing », dont le duo Dee Dee Bridgewater / Ray Charles fera bon usage en 1989.

Une décennie plus tard, les punks rendront hommage à Ronnie Bird. La presse rock lui consacrera parallèlement de nombreux articles et il deviendra une légende.
Le Ronnie Bird auteur et chanteur réapparaît en 1992 avec « One world », le second album de sa carrière. Il désolera les fans et ne connaîtra qu’un succès d’estime.

La chanson qui donne le titre à cet album : « One world »


Mais revenons aux années 60 et à ce 1er 33 tours de Ronnie Bird que j’écoute actuellement.

12 titres le composent et les adaptations sont majoritaires.
Outre les Troggs précités, il y a du Stones (« Ce n’est pas vrai »), du Who (« Ne t’en fais pas pour Ronnie »), des Everly Brothers (« Cette maudite solitude ») et une version très personnelle, très originale du « Sloop John b. » une chanson traditionnelle des Caraïbes, mise au goût du jour (et du succès) par les Beach Boys sur leur concept album « Pet sounds » en 1966.

Pour concevoir ce LP, Ronnie Bird avait mis les petits plats dans les grands et cela s’entend. L’orchestre assure, la gravure est au poil et je me régale, que dis-je, je me délecte à l’écoute de cet album clairement de et dans son époque, sans sucre ajouté, qui fleure bon les guitares et les orchestrations de cette seconde partie de décennie.
Tout n’est pas parfait, certains titres sont (un peu) bancals, mais c’était ça aussi les sixties … :casque:
mon 33 tours de ronnie bird.jpg
mon 33 tours de ronnie bird.jpg (95.35 Kio) Vu 2777 fois
On pose le disque …

N’écoute pas ton cœur

Seul dans la nuit

Ce n’est pas vrai

Chante

Ne t’en fais pas pour Ronnie


Et on tourne le disque

Je serre les poings

Tu ne sais pas

Tu en dis trop

C’est un hold-up


Cette maudite solitude

Cheese


La petite anecdote que vous attendez … peut-être … ou pas !

Tout à l’heure je vous parlais de Noël Deschamps. Comme Ronnie Bird, son style (orienté rythm’n’blues ») et sa voix (paraissant doublée en studio) l’avaient consacré en 1964.
Son parcours musical initiatique était également pareil (Golf Drouot, rock, twist …).

Tout comme lui, il faisait partie des valeurs sûres, mais à distance, dans la troupe des seconds couteaux en quelque sorte.
Ses retours fugaces ne changèrent pas la donne.
Mais Noël Deschamps reste à jamais attaché aux mythiques années 60 !

Son plus grand succès, « Oh là hey (juste quelques mots)» avait été écrit par Alain Bashung en 1966.
Modifié en dernier par Texas Rangers le dim. 18 nov. 2018 14:46, modifié 1 fois.
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Texas Rangers
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Re: Ce que vous écoutez en ce moment

Message par Texas Rangers »

Bonsoir la foule ! :jap:


Les années 60 :

Dans l’imaginaire collectif des jeunes et (un peu) moins jeunes, la première moitié des années soixante était d’une pauvreté musicale affligeante en France.
Toujours à l’affût des succès anglo saxons, des textes français puérils étaient hâtivement collés dessus, ponctués par des « yé yé » et autres « han han » débiles.

Robes Vichy, SLC, twist again, lendemains qui chantent, plein emploi, gaieté, « l’école est finie, je bois du lait car ma p’tite amie est vache, dis-moi le sais-tu Daniela? », la combinaison formée par l’insouciance et la prétendue niaiserie séduisent encore aujourd’hui.

Et l’on oublie que si la musique en ce temps là faisait effectivement ses emplettes outre-atlantique et outre-manche (les autres pays d’Europe en faisaient tout autant), des artistes français chantaient leurs propres textes (Stella, Eddy Mitchell, Ronnie Bird) sur leurs propres mélodies (Alice Dona, Michel Paje, Michel Berger).
D’autres, uniquement interprètes, versaient dans le made in France exclusif à l’instar de France Gall.
D’autres encore, comme Monty ou Françoise Hardy, variaient (et mariaient) les plaisirs, en allant ponctuellement piocher dans le répertoire goûteux de leurs petit(e)s camarades américains, britanniques, voire transalpins.

Mais ces bluettes, autrefois frappées du sceau infâmant de la puérilité et sensées disparaître comme les feuilles d’automne, font désormais partie du patrimoine de la chanson populaire française et sont recherchées. Le succès rencontré par la tournée « Age Tendre » atteste du phénomène.

Et justement, je vais vous parler cette « arlésienne » qu’était Stella pas encore Vander, dont on ne savait pas grand-chose et qui apparaissait soudainement à la radio, à la faveur d’une nouvelle chanson aux paroles trempées dans le vitriol.
Stella c’est l’anti Sheila, disait-on…
Sauf que Stella était son vrai prénom avec Zelcer pour patronyme. Maurice Chorenslup était son oncle. Ça vous fait une belle jambe me direz-vous.

Ben ouais, mais il n’empêche qu’il est à l’origine de la carrière de sa nièce, débutée très tôt à l’âge de 13 ans. A l’époque, ce n’était pas rare (c.f. Pascal le Petit Prince).

Maurice est un féru, un passionné de jazz. Il transmet cette passion à Stella qui étudie déjà le piano et la musique classique. Cela lui permet d’improviser des airs de jazz et de soul.

Comme Henri Salvador alias Henri Cording en 1956, tonton Chorenslup se tournera (en dérision) vers le rock et le twist.

Mais attention : la musique est de son cru, tandis que les paroles sont l’œuvre de sa nièce qui, en cette année 1963, débarque dans le monde du show business, par l’entremise d’un premier EP qui cartonne d’emblée.
Deux titres s’en détachent : « Les parents twist » et « Pourquoi pas moi ? ». Dans le premier titre, elle dénonce le « jeunisme » dont certains parents croient devoir se parer,
L’autre titre évoque ces chanteurs et ces chanteuses médiocres, jetables, qui ont été pistonnés.




Sheila chantait « la première surprise partie » ?


Stella lui emboîte le pas avec « la « Surprise est partie » sur son 2ème EP en 1964.


Stella, représente cette ado aux cheveux courts, vêtue comme un garçon, rebelle et conventionnelle à la fois, la tête sur les épaules alors que les autres l’ont perdue dans les nuages. Ses remarques sont tranchantes comme la lame d’une épée et font mouche car frappées du coin du bon sens.

Aujourd’hui, avec un tel répertoire, on la traiterait de « réac » et les réseaux sociaux feraient leur (beurre) buzz.

En ligne de mire :

- "Les beatnicks" (1966)


- « T’achètes des disques américains » (1966) … y en a qu’ont pas aimé !!


« Un air du folklore auvergnat » (1966) en réponse au « Folklore Américain » de Sheila


Ce titre avait provoqué un petit scandale à sa sortie. Il demeure je crois, le plus grand succès de l’artiste.


« Pourquoi je chante » (1966) en réponse au « Si je chante » de Sylvie Vartan


Chanson très pertinente et très vraie qui dénonce ceux qui, la main sur le cœur, devant un public énamouré, proclament que les galas, le public, les concerts sont toute leur existence et qu’ils ne pourraient vivre sans.
Question rentrées d’argent et compte en banque cela ne fait aucun doute … Une chanson encore d’actualité, à l’heure où le CD se meurt …
Supprimez le cachet, vous verrez le résultat …



« Le cauchemar auto protestateur » (1966) en référence à la chanson de Hugues Aufray « cauchemar psychomoteur » (de l’album « chante Dylan » en 1965)
Faut-il commenter ? Une chanson encore terriblement actuelle.


« Pauvre Figaro » (1966) vise les cheveux longs et le désespoir des coiffeurs


« Je ne peux plus te voir en peinture » (1967)
Evoque la rupture (la lame de l’épée évoquée plus haut, vous vous rappelez ?)


Voilà le petit florilège. Si vous en voulez plus, je ne saurais trop vous conseiller ce CD Magic Records que j’écoute actuellement. Si la musique « trahit » bien sûr l’époque, les paroles quant à elles n’ont rien perdu de leur actualité ni de leur acuité d’ailleurs …
Et certains plans de guitare semblent avoir été exécutés par John Fogerty !
CD Stella.jpg
CD Stella.jpg (82.95 Kio) Vu 2761 fois
Stella Zelcer après …

Peu à l’aise au sein du show biz et fan absolue de jazz (Stan Getz, Miles Davis, et toussa …), elle met un terme à sa carrière en 1969 et devient groupie du groupe français Magma avant de jeter son dévolu sur son mentor Christian Vander et de l’épouser.

C’est désormais en qualité de Stella Vander qu’elle devient la choriste principale du groupe.
Elle prête également son concours à un nombre impressionnant de disques et de concerts de ses consoeurs et confrères. Leur simple énumération filerait le tournis.

Elle mitonne un premier album solo en 1991 (« d’épreuves d’amour »). Christian Vander et les musiciens du groupe Offering sont du voyage.
Un extrait ? OK ! voici « Innocent »



L’album sera mon cadeau de Noël … mais chuuut … le père Noël n’est pas encore au courant.
Modifié en dernier par Texas Rangers le dim. 18 nov. 2018 15:01, modifié 2 fois.
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Texas Rangers
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Re: Ce que vous écoutez en ce moment

Message par Texas Rangers »

Hello, la bande de jeunes ! :hello:

Le 13 septembre 2016, je vous avais présenté l’album « Atmosphère II » de Danyel Gérard.
Ce soir, je me ressourcerai au cœur des années 60 en compagnie du 33 tours de reprises qu’il avait fait paraître en 1974, en plein cœur de la vague de rock and roll revival.

Il ne pouvait se soustraire à cet exercice, lui qui fut l’une des pierres angulaires de l’édifice musical de cette époque là.

Je crois que c’est le disque que j’ai le plus prêté. Tellement prêté, tellement écouté, tellement de mal à le récupérer, qu’il en est usé le pauvre. Mais ce disque est un must !

Certes, la notoriété de Danyel Gérard n’avait rien de comparable avec celle d’un Johnny, d’un Claude François, d’une Sheila, voire même d’un Frank Alamo, mais son succès n’était pas que d’estime.

Rappel : une bio en quelques lignes

Auteur- compositeur et interprète, Danyel Gérard est, en 1958, avec R. Piron alias Danny Boy, le premier jeune rocker français. Surnommé le chanteur suffocant, il déploie une belle énergie sur disque comme sur scène.
« D’où viens-tu BiIly boy ? » (paroles de B. Vian) le fait connaître, mais un an et quelques disques et galas plus tard, il est appelé sous les drapeaux et part en Algérie.
A son retour, la mode étant aux groupes, il forme les Danger’s, se lance dans le twist en 1962 et parvient à se (re)faire un nom avec quelques succès comme « La leçon de Twist » ou « Petit Gonzales ».
Grâce à un répertoire judicieusement choisi, alternant reprises et compos originales, il s’installe parmi les yéyés et aligne une belle série de hits jusqu’en 1965 ("Il pleut dans ma maison", "Je", "Memphis Tennessee", "America" - de West Side Story, "D'accord, d'accord", etc ...).
Il écrira aussi pour d'autres, comme Marie Laforêt ("les vendanges de l'amour") ou Hervé Vilard ("Fais-la rire", « Mourir ou vivre » …).

La seconde partie des sixties consacre un changement générationnel et Danyel Gérard en subit le contrecoup. Il se consacrera principalement à l’écriture et à la production.
En 1971 il déclenche l’évènement avec un succès qui deviendra mondial : « Butterfly ».
Désormais barbu, coiffé d’un chapeau noir en feutre comme Dylan, son style et son allure ressemblent à ceux de Georges Moustaki, à qui il a aussi emprunté la fausse nonchalance.
Il fait paraître un album chaque année et, pendant longtemps, avec la régularité d’un métronome, il inscrira un tube au hit-parade.
Peut-être vous souvenez-vous de « Un grand amour », « Le Gypsy », « Marylou », ou « Ti laï laï li » qui a également cartonné en Allemagne.

Pour l’épauler, il avait fondé un groupe émérite : les Hord.
Yves Chouard à la guitare, Serge Haouzi à la batterie et aux percussions, Yves Batteux à la basse et à tous les claviers, Danyel Gérard tenant lui-même la guitare rythmique ou picking selon les circonstances.
Le célèbre guitariste américain de jazz-rock Larry Carlton venait ponctuellement épauler l’équipe.


Le LP dont il est question : "Les années folles de 1960 à 1965"

Il contient les titres emblématiques de l’artiste au cours de cette période, titres qu’il a pris soin de réenregistrer avec les Hord.
Et ça envoie, je vous prie de me croire !
mon LP de Danyel Gérard.jpg
mon LP de Danyel Gérard.jpg (106.36 Kio) Vu 2750 fois
Les chansons qui le composent :

1 – La leçon de twist (ce n’est pas la version de l’album mais celle de la tournée « Age Tendre)

2 – T’as 16 ans demain (« Sweet little sixteen » de Chuck Berry)

3 – Petit Gonzales (« Speedy Gonzales » de Pat Boone)

4 – D’accord, d’accord
5- Les petits rats
6 – Memphis Tennessee (Chuck Berry)

7 – Je
8 – Comme tu es jeune

9 – Il n’y a pas si longtemps

10 – Le petit bandit de Juarez
11 – Il pleut dans ma maison
12 – America (« West Side Story »)


Aujourd’hui, Danyel Gérard s’est retiré du monde de la chanson en tant qu’artiste, même s il a participé à la tournée « Age Tendre ». Son dernier album original date de 1991.

Parmi la multitude de ses activités, il promeut des groupes français de country.
Modifié en dernier par Texas Rangers le lun. 19 nov. 2018 19:58, modifié 1 fois.
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RiffRaff
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Re: Ce que vous écoutez en ce moment

Message par RiffRaff »

Motörhead, album "Under Cöver" :
(Album composé de reprises, sorti après la mort de Lemmy)

Thierry
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QuentinP17
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Re: Ce que vous écoutez en ce moment

Message par QuentinP17 »

J'ai découvert l'autre jour chez mon disquaire favori trois disques de Eloy.

Je ne connaissait pas du tout ce groupe et je n'en avais même jamais entendu parlé !

Du coup je les ais tous acheté !

En voici un :


Hifi, sono, instruments, disques, je n'en ai jamais assez !

Le silence après la musique est plus important que la musique (V. Blanc-Garin)
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