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Sansui Six
- rocknrach
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Re: Sansui Six
Oui, tout est d'origine dessus.
- Sargon
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Sansui six
Bonjour à tous,
Je voudrais vous présenter aujourd'hui le dernier arrivé dans ma collection: le sansui six. J'avais possédé un seven finalement revendu car déçu par ses timbres froids et peu subtiles, en plus d'être ternes. Toutefois, ayant remarqué sur les doc sansui un meilleur résultat sur signaux carrés de la part du six par rapport au seven, je m'étais dit que peut-être il faudrait retenter l'expérience. J'ai donc trouvé un six en parfait état, et pour la petite histoire, il appartenait au premier importateur sansui pour la france. Son fils, qui m'a vendu l'ampli, m'a donc offert en prime quelques docs d'époque (mesures du sansui six et eight en laboratoire).
Esthétiquement, l'appareil présente une belle apparence. le design, quoique sans ostentation, n'est pas fade et respire la qualité. Le coffret plaqué de bois véritable est un plus par rapport au vinyle habituel. A l'arrière, le nombre d'entrées est pléthorique, ainsi que les sorties HP: 3 au total.
Pour la partie technique, une belle alimentation avec un transfo de belle taille, de beaux radiateurs à ailettes et profusion de circuits qui nuisent à l’accessibilité aux commutateurs qu'il a bien sûr fallu nettoyer. Les potentiomètres et rotacteurs qui contrôlent la tonalité sont accessibles en retirant la plaque du dessous. L'ensemble est très bien fabriqué et inspire le respect.
L'écoute est plus mitigée. Côté bons points, il faut souligner un grave d'un profondeur et d'une lisibilité exceptionnelle, probablement à mettre en partie sur le compte d'une alimentation soignée. Le bas medium est un peu léger selon moi, brillant et manque un peu de fermeté. Cela se traduit plus par une sonorité aux contours un peu mous que par un manque de clarté. Ce défaut peu être légèrement corrigé par un câble approprié, mais surtout par des enceintes très riche dans le medium-grave. Je pense aux enceintes anglaises notamment (Wharfedale, B&W par ex.) Ce n'est du reste pas rédhibitoire et est sans doute plus affaire de goût qu'autre chose. Du medium à l'aigu, c'est le point faible de cet ampli. Les sonorités restent riches et détendues mais manquent de relief. Le haut medium est un peu trop présent, ce qui peu générer psur certains instruments ou avec certains enregistrements un son un peu trop "liquide", manquant de grain et d'accroche. Toutefois, le défaut est moins flagrant qu'avec le seven qui certes avait des timbres plus fermes, mais froids et ternes du grave à l'aigu. Ici, le son est plus subtil qu'avec le seven, mais ne parvient pas à cacher un relatif manque de raffinement dans le medium aigu. Ce défaut n'est du reste pas flagrant sur tous les types de musique: sur le piano et le clavecin (pas tous), le résultat est excellent parce que ces instruments jouent essentiellement dans le bas médium. La profondeur est alors remarquable et la présence de l'instrument très réaliste. Sur un orchestre symphonique en revanche, où les cordes (violons), les flutes, le triangle et les cymbales jouent davantage dans le medium-aigu, tout relief s'estompe, la profondeur disparaît et l'ensemble est bien ennuyeux. Je dois dire qu'à l'usage on finit par s'y habituer. Le local d'écoute aura ici un grand rôle à jouer, car il faut signaler que les défauts remarqués ne sont jamais caricaturaux, et qu'il est toujours possible en optimisant le placement des enceintes, et le câblage de les limiter.
Pour conclure, je pense que le six est meilleur que le seven. j'ai également entendu un eight, qui lui même est plus proche du six que du seven en terme d'équilibre spectral et de chaleur (le seven est franchement froid). Les ampli-tuners de cette série tirent leur intérêt en collection de leur extraordinaire qualité de fabrication et d'une très bonne musicalité, mais qui peu être dépassée par certains modèle de gamme à peu près équivalente de la concurrence comme l'Onkyo tx 560 et 666, les Kenwood KR 5200 à 7200. Quoiqu'une fois encore, ce peut être une affaire de goût. Le Sansui fera en revanche toujours mieux que ces modèles dans l'extrême grave, mais, avouons le, cet avantage est marginal puisque ce n'est pas là que ce joue l'essentiel de la musicalité d'un appareil. Signalons également que si le six paraît très neutre musicalement en regard de la production japonaise de la même époque, cette neutralité s'obtient au prix d'une sonorité parfois ennuyeuse, qui finalement paraît moins proche des instruments réels que certains amplis plus colorés. La raison en est probablement le manque crucial de relief que l'on ressent sur la musique symphonique avec ce modèle. Il semble donc que la cote de cette série, six, seven et eight soit, surtout dans le cas du seven et du eight, franchement surévaluée. J'ai vu récemment plusieurs fois sur ebay des eight partir à 560 euros ! Je dirais donc que si vous pouvez trouver un six aux alentours de 100-150 euros, c'est une bonne affaire il ne faut pas hésiter. Plus, le jeu n'en vaut pas la chandelle, car bien d'autres modèles moins coûteux vous satisferont plus au final.
En un mot, le six est un très bon appareil, mais qui frustrera ceux pour qui la subtilité des timbres et le relief sonore sont cruciaux. Le six leur paraîtra fade. La bande passante en revanche est très large, le grave excellent, l'ampleur tout à fait à la hauteur et la sensation de profondeur très bonne sur certains instruments solos (piano, clavecin...), mais mauvaise sur les ensembles symphoniques. Il sera de toute façon impératif de marier cet ampli avec des enceintes très riches dans le bas-medium grave pour contrer la tendance à la froideur des modèles de cette série. Celestion, Kef, Wharfedale de la même époque me paraissent d'excellent choix, ou des BW d'aujourd'hui iront très bien aussi.
Configuration pour le test: Sansui six. Enceintes BW 684, Platine dual 701 (entraînement direct), câble QED qudos cuivre, 4 mm de section. Connectique profigold.
Je voudrais vous présenter aujourd'hui le dernier arrivé dans ma collection: le sansui six. J'avais possédé un seven finalement revendu car déçu par ses timbres froids et peu subtiles, en plus d'être ternes. Toutefois, ayant remarqué sur les doc sansui un meilleur résultat sur signaux carrés de la part du six par rapport au seven, je m'étais dit que peut-être il faudrait retenter l'expérience. J'ai donc trouvé un six en parfait état, et pour la petite histoire, il appartenait au premier importateur sansui pour la france. Son fils, qui m'a vendu l'ampli, m'a donc offert en prime quelques docs d'époque (mesures du sansui six et eight en laboratoire).
Esthétiquement, l'appareil présente une belle apparence. le design, quoique sans ostentation, n'est pas fade et respire la qualité. Le coffret plaqué de bois véritable est un plus par rapport au vinyle habituel. A l'arrière, le nombre d'entrées est pléthorique, ainsi que les sorties HP: 3 au total.
Pour la partie technique, une belle alimentation avec un transfo de belle taille, de beaux radiateurs à ailettes et profusion de circuits qui nuisent à l’accessibilité aux commutateurs qu'il a bien sûr fallu nettoyer. Les potentiomètres et rotacteurs qui contrôlent la tonalité sont accessibles en retirant la plaque du dessous. L'ensemble est très bien fabriqué et inspire le respect.
L'écoute est plus mitigée. Côté bons points, il faut souligner un grave d'un profondeur et d'une lisibilité exceptionnelle, probablement à mettre en partie sur le compte d'une alimentation soignée. Le bas medium est un peu léger selon moi, brillant et manque un peu de fermeté. Cela se traduit plus par une sonorité aux contours un peu mous que par un manque de clarté. Ce défaut peu être légèrement corrigé par un câble approprié, mais surtout par des enceintes très riche dans le medium-grave. Je pense aux enceintes anglaises notamment (Wharfedale, B&W par ex.) Ce n'est du reste pas rédhibitoire et est sans doute plus affaire de goût qu'autre chose. Du medium à l'aigu, c'est le point faible de cet ampli. Les sonorités restent riches et détendues mais manquent de relief. Le haut medium est un peu trop présent, ce qui peu générer psur certains instruments ou avec certains enregistrements un son un peu trop "liquide", manquant de grain et d'accroche. Toutefois, le défaut est moins flagrant qu'avec le seven qui certes avait des timbres plus fermes, mais froids et ternes du grave à l'aigu. Ici, le son est plus subtil qu'avec le seven, mais ne parvient pas à cacher un relatif manque de raffinement dans le medium aigu. Ce défaut n'est du reste pas flagrant sur tous les types de musique: sur le piano et le clavecin (pas tous), le résultat est excellent parce que ces instruments jouent essentiellement dans le bas médium. La profondeur est alors remarquable et la présence de l'instrument très réaliste. Sur un orchestre symphonique en revanche, où les cordes (violons), les flutes, le triangle et les cymbales jouent davantage dans le medium-aigu, tout relief s'estompe, la profondeur disparaît et l'ensemble est bien ennuyeux. Je dois dire qu'à l'usage on finit par s'y habituer. Le local d'écoute aura ici un grand rôle à jouer, car il faut signaler que les défauts remarqués ne sont jamais caricaturaux, et qu'il est toujours possible en optimisant le placement des enceintes, et le câblage de les limiter.
Pour conclure, je pense que le six est meilleur que le seven. j'ai également entendu un eight, qui lui même est plus proche du six que du seven en terme d'équilibre spectral et de chaleur (le seven est franchement froid). Les ampli-tuners de cette série tirent leur intérêt en collection de leur extraordinaire qualité de fabrication et d'une très bonne musicalité, mais qui peu être dépassée par certains modèle de gamme à peu près équivalente de la concurrence comme l'Onkyo tx 560 et 666, les Kenwood KR 5200 à 7200. Quoiqu'une fois encore, ce peut être une affaire de goût. Le Sansui fera en revanche toujours mieux que ces modèles dans l'extrême grave, mais, avouons le, cet avantage est marginal puisque ce n'est pas là que ce joue l'essentiel de la musicalité d'un appareil. Signalons également que si le six paraît très neutre musicalement en regard de la production japonaise de la même époque, cette neutralité s'obtient au prix d'une sonorité parfois ennuyeuse, qui finalement paraît moins proche des instruments réels que certains amplis plus colorés. La raison en est probablement le manque crucial de relief que l'on ressent sur la musique symphonique avec ce modèle. Il semble donc que la cote de cette série, six, seven et eight soit, surtout dans le cas du seven et du eight, franchement surévaluée. J'ai vu récemment plusieurs fois sur ebay des eight partir à 560 euros ! Je dirais donc que si vous pouvez trouver un six aux alentours de 100-150 euros, c'est une bonne affaire il ne faut pas hésiter. Plus, le jeu n'en vaut pas la chandelle, car bien d'autres modèles moins coûteux vous satisferont plus au final.
En un mot, le six est un très bon appareil, mais qui frustrera ceux pour qui la subtilité des timbres et le relief sonore sont cruciaux. Le six leur paraîtra fade. La bande passante en revanche est très large, le grave excellent, l'ampleur tout à fait à la hauteur et la sensation de profondeur très bonne sur certains instruments solos (piano, clavecin...), mais mauvaise sur les ensembles symphoniques. Il sera de toute façon impératif de marier cet ampli avec des enceintes très riches dans le bas-medium grave pour contrer la tendance à la froideur des modèles de cette série. Celestion, Kef, Wharfedale de la même époque me paraissent d'excellent choix, ou des BW d'aujourd'hui iront très bien aussi.
Configuration pour le test: Sansui six. Enceintes BW 684, Platine dual 701 (entraînement direct), câble QED qudos cuivre, 4 mm de section. Connectique profigold.
Modifié en dernier par Sargon le sam. 24 nov. 2012 12:22, modifié 1 fois.
- grievousangel
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Re: sansui six
Sympa mais quelques photos seraient les bienvenues ...
On a du mal à s'imaginer la bête ...
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Robert (59)
Je ne suis ni pour, ni contre, bien au contraire ...
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Re: Sansui six
Comme Robert , les photos....
maintenant concernant ton CR ,une belle analyse ,bien détaillée et comparative sur divers modèles de cette gamme, mais une chose à ne pas oublier ,les appareils sont parfois un peu différents ,j'ai eu un Sansui 505(ampli) et je l'ai trouvé sympa , mais un peu radin sur la stéréo...le rendu était "étriqué"...et n'avait rien à voir avec mon chouchou ,le 222....
(Cédric ,on n'en rajoute pas !!!comme DD83!! le 101 est au mieux !mais ce n'est pas un 222



maintenant concernant ton CR ,une belle analyse ,bien détaillée et comparative sur divers modèles de cette gamme, mais une chose à ne pas oublier ,les appareils sont parfois un peu différents ,j'ai eu un Sansui 505(ampli) et je l'ai trouvé sympa , mais un peu radin sur la stéréo...le rendu était "étriqué"...et n'avait rien à voir avec mon chouchou ,le 222....
(Cédric ,on n'en rajoute pas !!!comme DD83!! le 101 est au mieux !mais ce n'est pas un 222


- Sargon
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Re: Sansui six
Merci de vos commentaire pour le CR. Quant à la photo, j'en ai joint une à ce message on verra bien si elle apparaît, car j'ai jusqu'à présent toujours eu des problèmes pour charger des images sur le site. Si çà marche, elle provient du site audio database.com. Si çà ne marche pas, cherchez sur google, il existe bcp d'images de ce modèle. Quant à l'ampli lui même. Je ne prétends pas juger ici la marque sansui, mais seulement les appareils de la série 6-7 et 8. j'ai aussi un sansui A-40, un intégré de la fin des années 70 qui en termes de niveau de gamme n'a rien à voir avec le six et qui fait effectivement un son très différent. En revanche, comme j'ai eu les trois modèles de la série, je peux dire qu'ils ont vraiment un très grand lien de parenté et qu'à mon avis le six a le meilleur rapport qualité prix, car la cote du eight me paraît vraiment déraisonnable. j'avais eu la chance de payer le mien pas trop cher, mais malheureusement un déséquilibre entre les canaux m'a poussé à le renvendre. Il n'avait néanmoins pas été bricolé et les transistors de puissance étaient ceux d'origine. C'était tout de même assez pour me rendre compte que le son était vraiment semblable au seven que je possédait à l'époque.
Quant aux performances, la puissance du six, bien que donné pour 28 w, est considérable. La doc que je possède, dit que les mesures effectuées en labo indépendant révèle une puissance de 34 W/8 ohms les deux canaux en fonction et sur toute la bande. A l'écoute cela se ressent et effectivement, au pif, on lui donnerait bien entre 35 et 40 w.
Quant à l'image stéréo, elle me paraît tout à fait conforme aux perf de l'époque. Je veux dire que les ampli avec lesquels je le compare (même époque et même niveau de gamme) ne s'en distinguent pas vraiment pour ce qui est de l'image stéréo, sauf peut-être les onkyo tx 560-666 et A 7022 qui font preuve d'une spatialisation supérieure. Je trouve même qu"il a une très bonne ampleur (largeur de la scène sonore). Mais en fait le son du six est un peu brouillon. c'est curieux car autant la définition est bonne (en ce sens que le message sonore est très détaillé), autant les contours des différents instruments paraissent flou. C'est pour cela que je lui trouvait une sonorité un peu molle. C'est pas bien gênant et j'ai déjà entendu des marantz qui faisaient pas mieux avec en plus moins de présence sonore et de définition. Non, moi au final le seul truc qui me chagrine vraiment avec cet ampli ce sont ses timbres pas vraiment à mon goût. Chaque fois que j'ai entendu de vrais instruments dans une salle pas trop grande et sans dispositif d'amplification, ils avaient plus de couleur et de sécheresse dans les attaques. Je ne parle pas d'amplitude évidement, mais de la texture des timbres. Les onkyo de cette période sont probablement ce que je trouverais le plus ressemblant par rapport à mes expérinces du concert. Mais bon, je ne regrette pas de l'avoir acheté parce que je le trouve à la fois plus beau et plus musical que le seven, malgré ses timbres un peu trop fades pour mon oreille. Encore que, comme je l'ai dit, cela dépend des instruments. En plus, il est tellement bien construit, çà fait plaisir à voir.
PS: l'image vient de se charger, j'envoie le message, j'éspère que çà va marcher !
Quant aux performances, la puissance du six, bien que donné pour 28 w, est considérable. La doc que je possède, dit que les mesures effectuées en labo indépendant révèle une puissance de 34 W/8 ohms les deux canaux en fonction et sur toute la bande. A l'écoute cela se ressent et effectivement, au pif, on lui donnerait bien entre 35 et 40 w.
Quant à l'image stéréo, elle me paraît tout à fait conforme aux perf de l'époque. Je veux dire que les ampli avec lesquels je le compare (même époque et même niveau de gamme) ne s'en distinguent pas vraiment pour ce qui est de l'image stéréo, sauf peut-être les onkyo tx 560-666 et A 7022 qui font preuve d'une spatialisation supérieure. Je trouve même qu"il a une très bonne ampleur (largeur de la scène sonore). Mais en fait le son du six est un peu brouillon. c'est curieux car autant la définition est bonne (en ce sens que le message sonore est très détaillé), autant les contours des différents instruments paraissent flou. C'est pour cela que je lui trouvait une sonorité un peu molle. C'est pas bien gênant et j'ai déjà entendu des marantz qui faisaient pas mieux avec en plus moins de présence sonore et de définition. Non, moi au final le seul truc qui me chagrine vraiment avec cet ampli ce sont ses timbres pas vraiment à mon goût. Chaque fois que j'ai entendu de vrais instruments dans une salle pas trop grande et sans dispositif d'amplification, ils avaient plus de couleur et de sécheresse dans les attaques. Je ne parle pas d'amplitude évidement, mais de la texture des timbres. Les onkyo de cette période sont probablement ce que je trouverais le plus ressemblant par rapport à mes expérinces du concert. Mais bon, je ne regrette pas de l'avoir acheté parce que je le trouve à la fois plus beau et plus musical que le seven, malgré ses timbres un peu trop fades pour mon oreille. Encore que, comme je l'ai dit, cela dépend des instruments. En plus, il est tellement bien construit, çà fait plaisir à voir.
PS: l'image vient de se charger, j'envoie le message, j'éspère que çà va marcher !
- Sargon
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Re: Sansui six
Bon ben, je me réponds à moi même: désolé, j'ai tout essayé mais cette foutue image n'apparaît pas: soit je la charge avec hotingpics mais aucun lien ni rien d'autre n'apparaît dans le message, soit je la charge avec "ajouter des fichiers joints", mais là elle est trop lourde et je n'ai aucun logiciel sur mon ordi pour la redimensionner. Un bon exemple des raisons pour lesquelles je banni le numérique de mon existence...Maudite informatique.....
A+
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Re: Sansui six
Une solution :
tu passes par "casimages" où tu peux facilement redimensionner tes photos et les faire apparaître sur le forum..(c'est gratuit et assez rapide )
c'était plus simple avant ...
Il faudrait peut être y revenir,sachant que les photos étaient "pour de bon" sur le fofo..Avec un hébergeur ,tout peut arriver!
A suggérer à Thierry....
tu passes par "casimages" où tu peux facilement redimensionner tes photos et les faire apparaître sur le forum..(c'est gratuit et assez rapide )
c'était plus simple avant ...
Il faudrait peut être y revenir,sachant que les photos étaient "pour de bon" sur le fofo..Avec un hébergeur ,tout peut arriver!
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- Clavette
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Re: Sansui Six
Bonjour,
Une petite révision concernant le six. depuis mon dernier message, c'est toujours l'ampli que j'utilise pour l'instant, c'est donc la preuve que je l'apprécie vraiment. 3 mois plus tard, je peux affiner mes sensations d'écoute. Concernant l'image stéréo, elle est effictivement bonne en termes d'ampleur car la sonorité est très riche, mais est très centrée, ce qui peut sur le moment donner cette sensation d'étroitesse. Je ne suis pas sûr qu'il faille le voir ainsi, car après écoute attentive sur des enregistrements à l'image stéréo différente, le six est très homogène et rend une scène sonore stable et précise. Concernant le medium un peu froid, j'ai du m'habituer avec le temps, car cela ne me choque plus vraiment aujourd'hui, mais il reste quand même moins chaleureux que certains de ces concurrents (kenwood surtout). J'ai en outre pris le temps d'optimiser les perfs avec un réglage plus précis de la balance, car il y est très sensible, ainsi que le positionnement des enceintes. En résumé, je dirais que mes premières impressions sont confirmées, mais que les défauts que j'ai soulignés dans le premier CR me sautent moins aux oreilles aujourd'hui.
A+
Une petite révision concernant le six. depuis mon dernier message, c'est toujours l'ampli que j'utilise pour l'instant, c'est donc la preuve que je l'apprécie vraiment. 3 mois plus tard, je peux affiner mes sensations d'écoute. Concernant l'image stéréo, elle est effictivement bonne en termes d'ampleur car la sonorité est très riche, mais est très centrée, ce qui peut sur le moment donner cette sensation d'étroitesse. Je ne suis pas sûr qu'il faille le voir ainsi, car après écoute attentive sur des enregistrements à l'image stéréo différente, le six est très homogène et rend une scène sonore stable et précise. Concernant le medium un peu froid, j'ai du m'habituer avec le temps, car cela ne me choque plus vraiment aujourd'hui, mais il reste quand même moins chaleureux que certains de ces concurrents (kenwood surtout). J'ai en outre pris le temps d'optimiser les perfs avec un réglage plus précis de la balance, car il y est très sensible, ainsi que le positionnement des enceintes. En résumé, je dirais que mes premières impressions sont confirmées, mais que les défauts que j'ai soulignés dans le premier CR me sautent moins aux oreilles aujourd'hui.
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