Prendre une mesure de courbe de réponse à 30 cm d' un pavillon multicellulaire ne veut pas dire grand chose.

Comme vient de l'écrire Jean, mesurer un pavillon multicellulaire à 30 cm de son embouchure n'est pas représentatif du résultat auditif. Je peux t'assurer qu'à l'écoute, l'ensemble 288/1005B monte beaucoup plus haut. L'extrême aigu est bien sûr absent, la longueur du 1005B ne le permet pas.Donc pour toi Jean-François, c'était assez linéaire. Comment pourrait-on expliquer la courbe obtenue ici ? La pièce peut-elle avoir un effet si grand au-delà de 2000 Hz et ce tout en étant si près de la source (1 foot = 30,5 cm) ?
Oui Rémi ...SidSmith a écrit : Il est tout aussi fascinant que la revue du son ait eu la chance d'avoir un collaborateur tel que Jean Hiraga, qui voulait entendre autre chose que des CD amplifiés par du transistor sur des systèmes à base de B&W 800D, Sonus Faber Amati ou autre Wilson audio Sofia.
Salut Jean,Heifetz a écrit :Oui Rémi ...SidSmith a écrit : Il est tout aussi fascinant que la revue du son ait eu la chance d'avoir un collaborateur tel que Jean Hiraga, qui voulait entendre autre chose que des CD amplifiés par du transistor sur des systèmes à base de B&W 800D, Sonus Faber Amati ou autre Wilson audio Sofia.
Il n' empêche que j' ai du mal à comprendre l' intégration de tels filtres actifs dans des systèmes évolués ... avec des moyens mis en oeuvre pour l' amplification et la reproduction (haut-parleurs) aussi imposants
A chaque fois que j' ai eu l' occasion d' écouter avec attention des systèmes équipés de filtres actifs numériques, la "magie" naturelle distillée par ces systèmes hors-norme avait disparue ... je n' y peux rien ..... c' est ce que j' ai ressenti et je ne suis pas un cas isolé.
La facilité de réglage apportée par ces éléments numériques se fait au détriment de trop de choses.
Impossible à mon goût de perdre tout cela par simple compromis.
Si le 416-A, en 8 ou 16 ohms est si prisé, c' est surtout parce qu' on peut encore le trouver assez facilement ... cette version a été produite pendant plus de 15 ans, il y en a sur tous les continents et dans des états généralement excellents. Ce n' est pas fréquent pour des haut-parleurs de cet âge.SidSmith a écrit :D'abord le choix du 416-8A, une version qui semble ''si chère aux audiophiles''. Je connais les 515(A) et B, 803A et 416A de réputation, et je suis également au courant du déclin en qualités subjectives des versions subséquentes de ces haut-parleurs afin d'obtenir une réponse en fréquence plus étendue et linéaire et une puissance accrue. Qu'est-ce que cette version du 416 a de spéciale, si tel est le cas, par rapport aux autres ?
SidSmith a écrit :Le caisson pour la reproduction des graves est un hybride entre l'enceinte JBL 4550 et l'Altec 815A capable de descendre vers les 40 Hz. Le gain par rapport à une voix de théâtre est-il si sensible, ou alors l'accord avec la pièce est supérieur qualitativement avec cette enceinte, ou avons-nous affaire à une enceinte aux performances comparables aux voix de théâtre, mais choisit pour son esthétique ?
Ca, je n' en sais rien du toutSidSmith a écrit : Le choix de l'Altec 288-16L est surprenant. On sait que la série des 288 était pilotée par des aimants Al-Ni-Co 5 jusqu'à la version 288-8K et 288-16K, apparue vers le milieu-fin des années 1970. À moins que je ne me trompe, la raison pour laquelle Altec est passé de l'Al-Ni-Co à la ferrite était purement économique, avec la montée des prix de l'énergie dans les années 1970 et les difficultés d’approvisionnement. Hors la ferrite est souvent moins bien coté que l'Al-Ni-Co niveau son. Alors pourquoi avoir choisi les 288-16K comme moteur ?
SidSmith a écrit :Pourquoi avoir réalisé une copie de la pièce d'accord Altec 30210 en bois plutôt qu'en métal ou autre matériau plus inerte ? Si l'on sait que les matériaux employés dans les pavillons ne doivent pas vibrer, le bois, reconnu pour vibrer, est un des pire choix non !?
Finalement pourquoi passer en passif pour l'accord médium-aigu/aigu ?