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Autre curiosité, Terry Dactyl & the Dinosaurs, une copie de Mungo Jerry (l'un de mes groupes préférés), appâtés par le succès mondial de "In the summertime".
Derrière ces animaux préhistoriques se cache notamment Jona Lewie qui fera plus tard la carrière que l'on sait. "Seaside Shuffle" est la réplique de "Maggie" (1971), un succès ultérieur du Mungo Jerry première formule. "Seaside Shuffle" connaîtra un beau succès au Royaume Uni (n° 2 au hit parade), mais un peu moins ailleurs. Après quelques autres singles restés confidentiels, Terry Dactyl et ses monstres se sépareront en 1977.
J'avais acheté ce single dès sa sortie et j'aime toujours !
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"Seaside Shuffle" "Ball and Chain" (1972)
face B : "Ball and Chain" (indisponible sur youtube)
Et voici le fameux single "Maggie" de Mungo Jerry (1971)
face B : Mother boogie !!!
Les Gorillas ou Hammersmith Gorillas de Jesse Hector ... c'était quelque chose ... des fous furieux ... Punks avant les punks ...
J'ai eu la chance de les voir à Dunkerque vers 1977 ... Ils ont repris Hendrix mais aussi les Kinks, comme ici ...
You Really Got Me / Leavin' 'ome
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Face A :
Face B :
PS : désolé de ne pas avoir trouvé une pochette de taille décente ...
Re PS @ Texas Rangers : Jesse Hector pouvait rivaliser avec Ray Dorset côté rouflaquettes ...
Robert (59)
Je ne suis ni pour, ni contre, bien au contraire ...
Page 143, rubrique "ce que vous écoutez en ce moment", je vous ai présenté le groupe Mungo Jerry, ci-dessus évoqué aussi.
En 1972, à l'issue d'une tournée, Ray Dorset son fondateur, apprend qu'il a été viré par Paul King (banjo, guitares 6 et 12 cordes, jug, harp, whistle) et Colin Earl (piano). Seul le bassiste John Godfrey lui est resté fidèle. Les félons ont même déjà trouvé un remplaçant.
Apprenant la chose, Pye convoque illico les 2 conspirateurs. L'entretien dure juste le temps d'une brève mise au point. Ray Dorset EST Mungo Jerry.
Par conséquent, ils sont virés sur le champ !
ils resteront chez Pye, fonderont un nouveau groupe, le KING EARL BOOGIE BAND. Un extrait de leur premier album, "Plastic Jesus" obtiendra un joli succès en 1972.
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Plastic Jesus (tout à fait dans le style de Mungo Jerry)
If the Lord don't get you (non disponible sur Youtube)
Modifié en dernier par Texas Rangers le mer. 30 nov. 2016 13:28, modifié 1 fois.
Un personnage attachant, ancien travailleur social, artiste authentique et prolifique ...
Kevin Coyne, 2 titres extraits de son album "Matching Head and Feet" : Saviour et Rock'n'Roll Hymn ...
grievousangel, Kevin Coyne apparaît derrière la brume de mes souvenirs. J'avoue une nette préférence pour la face B, "rock and roll hymn", qui parle plus à mon Perfecto et à mon tube de brillantine Pento !
Quant aux Creepers, pas de panique ! Showaddywaddy en a plein de paires !!!
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Leur premier hit en 1974 : face A : Hey rock and roll (j'ai tous leurs singles et tous leurs albums)
Guilty pleasures ... les plaisirs coupables ...
Je l'avoue, j'ai toujours aimé les chansons de David Essex, ce britannique d'origines Irlandaise et Romanichelle ... Presque inconnu chez nous il a placé 16 albums et 19 singles dans le Top 40 ...
Difficile de faire un choix, je vous propose ici : Rock On /On and On
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Face A :
Face B :
Hey kid, rock and roll
Rock on, ooh, my soul
Hey kid, boogey too, did ya
Hey shout, summertime blues
Jump up and down in my blue suede shoes
Hey kid, rock and roll, rock on
And where do we go from here
Which is the way that's clear
Still looking for that blue jean, baby queen
Prettiest girl I ever seen
See her shake on the movie screen, Jimmy Dean
(James Dean)
And where do we go from here
Which is the way that's clear
Still looking for that blue jean, baby queen
Prettiest girl I ever seen
See her shake on the movie screen, Jimmy Dean
Jimmy Dean
Rock on
Rock on
Rock on
Hey, hey
Rock and roll
Rock on
Rock on
Hey, hey
Rock and roll
Rock on
Rock on
Hey, hey
Rock and roll
Rock on
Rock on
Hey, hey
Rock and roll
Rock on........
Robert (59)
Je ne suis ni pour, ni contre, bien au contraire ...
David Essex ... début 70, 1974 ... "America .... caca, America caca, America caca" que j'entendais tourner en boucle sur le tourne-disques de la voisine du dessous, qui était aussi la soeur de l'un de mes potes. Va ensuite écouter un album de lui après ce matraquage, tu ne peux plus l'encadrer quoi !
Pareille que sa frangine cadette mais bien avant, avec le SP "Sympathy" des Rare Bird. Jamais elle n'aurait mis la face B.
Non, c'était "Sympathy" et encore "Sympathy". Un vrai moulin à rata !!!!
Sérieux concurrent pour nous, les garçons, que ce David Essex. Fallait s'accrocher avec les filles ...
Dur dur si tu n'en étais pas une réincarnation au plan physique ... T'avais intérêt à ruser pour séduire.
Et puis la presse pour ados qui tournait Essexmania ... elle nous a fait du mal aussi, celle-là. Je crois que le cinéma se l'est ensuite accaparé.
Ben tiens, dans le même style ou, du moins, dans une ambiance proche de "America" ou de Gary Glitter ("Rock and Roll" part 1), c'est à dire batterie en avant, rythme syncopé et guitares "caverneuses", j'ai eu l'idée de me repasser un p'tit coup un single de John Sebastian :
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well well well
black satin kid (non "youtubé" apparemment)
John Sebastian ? bio expresse
Auteur-compositeur, guitariste, harmoniciste et chanteur, il a été le leader des Lovin' Spoonful ("do you believe in magic", "summer in the city", "daydream", "darling be home soon" - 1965, 1966, 1967), un groupe pop avant l'heure, dont le style est empreint d'influences musicales diverses,
même si, à la base, il se veut - un peu - folk rock.
On peut dire que les Supertramp sont leurs hértiers directs.
Lovin' Spoonful : "do you believe in magic"
Son père était un célèbre harmoniste. Grâce à lui, J. Sebastian a pu rencontrer Woodie Guthrie et de grands bluesmen tels Leadbelly ou Mississippi John Hurt. "Lovin' Spoonful" est d'ailleurs un titre de ce dernier.
Les Turtles ("Happy together"/1966) évoluaient dans le même registre.
Après avoir rangé sa cuillère, John Sebastian a mené une carrière solo, participé au festival de Woodstock en 1969 et collaboré avec de nombreux artistes dont les Doors (concerts et album "Morrison Hotel" sous le pseudonyme de G. Puglese). Il est toujours en activité, seul ou au sein d'un groupe.
Je vous présente cinq 45T d'un coup. Je vous en aurais présenté plus mais ce sont les seuls cinq que j'ai de cette maison de disques.
Désolé pour la photo pas top.
J'ai récupéré ces 45T chez un (presque) voisin qui revend de temps en temps ce qui ne lui plait plus. Merci à lui, j'ai récupéré des trucs très sympa dont ces 5 disques que j'aime beaucoup et qui proviennent d'une maison de disques de Rouen. Yakisikana Records. Oui, je sais, ce nom évoque plus le Japon que Rouen... Si quelqu'un parle japonais ici, nous aurons peut-être une explication de ce choix. Ou peut-être apprendrons nous que ce mot ne veut rien dire du tout en japonais...
En attendant, si je me souviens correctement de mes recherches à l'époque de cet achat, je n'ai trouvé aucune explication à ce nom. Ca ne m'a pas perturbé plus que ça. C'est la musique qui est importante.
Et, c'est de la super musique par des groupes très peu connus. Sur Discogs, ces groupes sont classifiés dans Punk/Garage. Franchement, je trouve ça très bien car, pour moi, correct.
Et bien moi, je viens d'exhumer un 45 tours que j'ai longtemps adoré : "slow hands", couplé à "holdin' out for love", des Pointer Sisters, paru en 1981.
"Slow hand" "Holdin' out for love"
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Il serait fastidieux de retracer la carrière de cette formation vocale féminine née en 1969.
Disons pour faire simple, que Ruth, Anita, Bonnie et June sont américaines, réellement frangines et filles de révérends. A partir de là, l'histoire est toujours la même :
- chanteuses à l'église
- voix extraordinaires, talent révélé
- carrière dans la musique.
D'abord en duo (Bonnie and June = "Pointer a pair"), puis en trio (Bonnie, June, Anita), parfois en quatuor, elles connaissent le succès dès 1972, avec un album éponyme. Leur style originellement rétro lorgnant vers le Be-Bop évoluera au fil des labels.
Les Pointer Sisters s'orienteront ensuite vers la Soul ouatée teintée de pop ... puis brièvement vers la Country ("Fairy tale" élue meilleure chanson country en 1974). A cet égard, elles seront les premières artistes noires à être invitées au festival de musique country du "Grand Ole Pry".
En 1978/1979, elles se distingueront par le biais de reprises rock (ex : Bruce Springsteen), avant d'effectuer un virage musical radical en 1982 avec le 30 cm "Break out". Puis elles reviendront à la musique soul.
Disques d'or et de platine à foison durant des décennies, sommet des charts pour chacun de leurs singles, les Pointer Sisters ont accumulé les distinctions comme les changements d'orientation musicale.
Néanmoins, si l'on voulait, tel le petit Poucet, baliser le chemin de leurs succès planétaires par de petits cailloux, cela donnerait :
"Pointer Sisters" (1973), "That's a plenty" (1974), "Energy" (1978), "Special things" (1980), "Black and White (1981) "Break out" (1983) - triple platine ! "Contact" (1985).
Ah, Ray Dorset , son Kazoo et ses Sideburns (Rouflaquettes) ... toute une époque ...
everybody !!!
