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Transrotor ZET1 Black
- EMT938
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- capricorne
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Re: Transrotor ZET1 Black
:helloman:
Merci pour ce début .
Je veux savoir , les matériaux ,le poids , la suspension , la technologie , le moteur ,l'entrainement , bref tout sur cette superbe platine .
Rien que l'usinage et la finition sont à tomber . :respect:
PS : Profites en pour faire un plan . :cpasmoi!:
Merci pour ce début .
Je veux savoir , les matériaux ,le poids , la suspension , la technologie , le moteur ,l'entrainement , bref tout sur cette superbe platine .
Rien que l'usinage et la finition sont à tomber . :respect:
PS : Profites en pour faire un plan . :cpasmoi!:
Jean-Philippe
- pionroi
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- Localisation : 33
Re: Transrotor ZET1 Black
vraiment superbe !
j'attends la suite avec gourmandise.


j'attends la suite avec gourmandise.
écoutons sans œillères.
Georges
Georges
- EMT938
- Membre éminent
- Messages : 1270
- Enregistré le : dim. 19 août 2012 11:26
Re: Transrotor ZET1 Black
Bonjour à vous,
Chose promise, chose due.
Je vais essayer de vous faire une description détaillée de la platine en fonction des éléments que je connais et ce que j’ai pu glaner sur la toile.
Cette table de lecture est, en regard de son prix très compétitif comparé à la concurrence proposant ce type de matériel, fabriquée sans concession apparente.
D’un poids déjà respectable puisqu’elle accuse ses quelques 24 kg sur la balance sans bras ni capot, elle est démunie de tout type de suspension traditionnelle.
Son châssis est constitué d’un grand X en acrylique et carbone à la finition irréprochable.
Trois gros palets munis d’une tige filetée viennent prendre place, deux devant et un derrière, sur la base.
Ces palets permettent l’ajustement de l’horizontalité de l’ensemble en fonction du support sur lequel la platine est posée.
L’embout des tiges filetées est muni d’une bille venant prendre appui dans une cuvette pratiquée sur les pieds proprement dit qui eux viennent se placer sous la base.
Le réglage est d’une très grande souplesse mais sans sacrifier à la position figée une fois le réglage effectué.
Un cylindre en aluminium de très fort diamètre est fixé en centre de la base au moyen d’une tige filetée de section très respectable, terminée par une empreinte BTR pour un serrage optimum.
C’est dans ce cylindre que le palier en acier fortement carboné et muni de bagues en laiton conséquentes vient accueillir l’axe du support plateau d’un diamètre de 10 à 12mm (je le ressortirai dans quelques temps pour vous donner le chiffre exact car pour le moment je le fais tourner pour le rodage).
Le plateau est à lui seul une œuvre d’art et je pèse mes mots d’horloger pointilleux.
Son poids est de 10kg !
Lui aussi est construit autour d’une pièce massive d’aluminium et je ne vois aucune trace de coulage donc dans ce cadre je me permets de penser qu’il doit en fait être extrudé afin de lui donner sa forme finale.
Je dois dire que lors de la première mise sous tension, une petite frayeur est monter en moi.
En effet, je pensais que le plateau ne tournait pas mais cette impression était fausse car la qualité tant de la rectification que du polissage est-elle qu’aucun micro saut ou autre altération lumineuse n’existe, incroyable…
Cette méticulosité du poli-glace ne se rencontre à ma connaissance qu’en horlogerie HH (HH= Haute Horlogerie).
Il est pratiqué sur la circonférence du plateau une saignée permettant à la courroie ronde de venir se loger, ceci afin d’éviter tout glissement vertical et apporter une réelle protection aux doigts baladeurs de gosses mais pas seulement !
Des corrugations dessus et dessous, à l’image des boomers JBL, vienne agrémenter le design de l’ensemble et peut-être même jouer un rôle auditif, je n’en sais pas plus.
Le tout est entraîné par un moteur synchro surmonté d’une poulie à deux étages.
Le moteur est lui aussi confiné au sein d’un bloc d’aluminium constitué en deux partie venant se joindre au moyen d’axes filetés.
La finition est identique au reste, l’excellence prime, tout simplement.
Je pense qu’il doit y avoir une régulation mais n’ayant pas plus d’information la dessus, je ne peux en dire plus.
Une alimentation séparée vient lui donner du 18 volts en continu.
Cette alimentation fait 800ma et se connecte au moyen d’une prise vissante du type DIN.
La aussi la surprise est très grande car aucun, je dis bien aucun bruit ne s’échappe de ce bloc moteur !
La vitesse est prise très rapidement.
Nous arrivons à une autre pièce maîtresse, le support du bras.
Il est bien évidemment réalisé dans le même matériau que le reste avec le même souci de finition.
Deux embases et cinq colonnes forme le « tronc » pour accueillir le bras.
L’embase supérieure est préparée pour recevoir un bras au standard Jelco, très bon bras s’il en est.
Cette embase est faite en deux parties dont une coulissante, puis trois vis BTR sont mises en place afin de figer le tout après réglage.
Le couvre plateau est rigide et sa matière est en vinyle.
Il est légèrement évidé en son centre pour les labels.
La qualité de fabrication est aussi à l’image du reste, du haut de gamme.
Enfin, je terminerais par le palet presseur, finition identique aussi au reste, qui est muni d’un centreur en nylon afin de ne pas rayer l’axe du plateau.
Voilà en attendant l’écoute…
Chose promise, chose due.
Je vais essayer de vous faire une description détaillée de la platine en fonction des éléments que je connais et ce que j’ai pu glaner sur la toile.
Cette table de lecture est, en regard de son prix très compétitif comparé à la concurrence proposant ce type de matériel, fabriquée sans concession apparente.
D’un poids déjà respectable puisqu’elle accuse ses quelques 24 kg sur la balance sans bras ni capot, elle est démunie de tout type de suspension traditionnelle.
Son châssis est constitué d’un grand X en acrylique et carbone à la finition irréprochable.
Trois gros palets munis d’une tige filetée viennent prendre place, deux devant et un derrière, sur la base.
Ces palets permettent l’ajustement de l’horizontalité de l’ensemble en fonction du support sur lequel la platine est posée.
L’embout des tiges filetées est muni d’une bille venant prendre appui dans une cuvette pratiquée sur les pieds proprement dit qui eux viennent se placer sous la base.
Le réglage est d’une très grande souplesse mais sans sacrifier à la position figée une fois le réglage effectué.
Un cylindre en aluminium de très fort diamètre est fixé en centre de la base au moyen d’une tige filetée de section très respectable, terminée par une empreinte BTR pour un serrage optimum.
C’est dans ce cylindre que le palier en acier fortement carboné et muni de bagues en laiton conséquentes vient accueillir l’axe du support plateau d’un diamètre de 10 à 12mm (je le ressortirai dans quelques temps pour vous donner le chiffre exact car pour le moment je le fais tourner pour le rodage).
Le plateau est à lui seul une œuvre d’art et je pèse mes mots d’horloger pointilleux.
Son poids est de 10kg !
Lui aussi est construit autour d’une pièce massive d’aluminium et je ne vois aucune trace de coulage donc dans ce cadre je me permets de penser qu’il doit en fait être extrudé afin de lui donner sa forme finale.
Je dois dire que lors de la première mise sous tension, une petite frayeur est monter en moi.
En effet, je pensais que le plateau ne tournait pas mais cette impression était fausse car la qualité tant de la rectification que du polissage est-elle qu’aucun micro saut ou autre altération lumineuse n’existe, incroyable…
Cette méticulosité du poli-glace ne se rencontre à ma connaissance qu’en horlogerie HH (HH= Haute Horlogerie).
Il est pratiqué sur la circonférence du plateau une saignée permettant à la courroie ronde de venir se loger, ceci afin d’éviter tout glissement vertical et apporter une réelle protection aux doigts baladeurs de gosses mais pas seulement !
Des corrugations dessus et dessous, à l’image des boomers JBL, vienne agrémenter le design de l’ensemble et peut-être même jouer un rôle auditif, je n’en sais pas plus.
Le tout est entraîné par un moteur synchro surmonté d’une poulie à deux étages.
Le moteur est lui aussi confiné au sein d’un bloc d’aluminium constitué en deux partie venant se joindre au moyen d’axes filetés.
La finition est identique au reste, l’excellence prime, tout simplement.
Je pense qu’il doit y avoir une régulation mais n’ayant pas plus d’information la dessus, je ne peux en dire plus.
Une alimentation séparée vient lui donner du 18 volts en continu.
Cette alimentation fait 800ma et se connecte au moyen d’une prise vissante du type DIN.
La aussi la surprise est très grande car aucun, je dis bien aucun bruit ne s’échappe de ce bloc moteur !
La vitesse est prise très rapidement.
Nous arrivons à une autre pièce maîtresse, le support du bras.
Il est bien évidemment réalisé dans le même matériau que le reste avec le même souci de finition.
Deux embases et cinq colonnes forme le « tronc » pour accueillir le bras.
L’embase supérieure est préparée pour recevoir un bras au standard Jelco, très bon bras s’il en est.
Cette embase est faite en deux parties dont une coulissante, puis trois vis BTR sont mises en place afin de figer le tout après réglage.
Le couvre plateau est rigide et sa matière est en vinyle.
Il est légèrement évidé en son centre pour les labels.
La qualité de fabrication est aussi à l’image du reste, du haut de gamme.
Enfin, je terminerais par le palet presseur, finition identique aussi au reste, qui est muni d’un centreur en nylon afin de ne pas rayer l’axe du plateau.
Voilà en attendant l’écoute…
Modifié en dernier par EMT938 le ven. 10 juin 2016 18:40, modifié 1 fois.
Pour que le passé ne soit pas qu'un vague souvenir
- bubu91
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Re: Transrotor ZET1 Black
Bravo serge une bien belle platine !
- EMT938
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- Ulrich
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Re: Transrotor ZET1 Black
Merci pour cette belle lecture... 

« L'unique différence entre un fou et moi, c'est que moi je ne suis pas fou. »
Salvador Dali
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- capricorne
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- denis78640
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Re: Transrotor ZET1 Black

Félicitations pour ce nouvel élément.
Amicalement
Denis
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