
à tous.
Voici le nouveau cœur vaillant de mon système qui remplace le 400 Série 1 dans la série "Occupy My Lounge", un 700 Series Two, construit à partir de 1978.
C'est un quintuple push pull (10 transistors de sortie par canal), les gros condensateurs sont des Epkos-Sikorel.
Au revoir les vu-mètres à aiguille, bienvenue aux diodes électroluminescentes !
J'ai mis le SM
ici
Pour les amateurs à qui cela parle, quelques spécifications techniques extraites du site de M Limas :
c'est là
- 2 x 360 Watts sous 8 Ohms
2 x 700 Watts sous 4 Ohms
THD < 0,09 %
Rapport signal / bruit > à 110 db
Bande passante de 12 Hz à 40 Khz
Poids : 20 Kg

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Un bouton M/A, un bouton "Display" et deux potards de volume. Ces derniers sont bien pratiques pour un réglage fin du volume,ils me permettent de ne pas avoir à utiliser le - 20 db du préampli contrairement à avec le 400 série 1 qui est de suite "à fond".

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Le bouton Display ne sert que pour les diodes (- 20 db)

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A noter à l' arrière un bouton "Coupling" avec deux positions, "Direct" et Normal", cette dernière à laquelle est greffé un condensateur est utilisée en studio pour éviter d'abimer les HPs avec le "ploc" du diamant sur le disque, les techniciens ayant souvent l'habitude de laisser les amplis constamment à fond.

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Les TR du bas sont les drivers.

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L'écoute après une semaine de virevoltantes galettes en tout genre :
Il est associé à un préampli Phase Linear 3500 arrivé il y a 15 jours, je le présenterai par ailleurs en espérant pouvoir trouver de la doc gratuite, je suis en échec à ce jour. Juste un mot pour dire que j'ai préféré le 3500 au 4000 avec le 400, notamment pour sa neutralité et sa finesse.
Mon seul point de comparaison disponible a été le 400 ce qui facilite et limite en même temps.
On retrouve la clarté propre à la marque avec un plus partout, il descend plus bas, monte plus haut et donne une impression de meilleur équilibre et surtout de plus d'ampleur (par exemple sur Toccata und Fuge BWV 565 de Bach). Ce n'est pas une claque comme on a pu me le dire, mais un sacré cran au dessus.
Ce qui est notable c'est une sensation de maitrise et de facilité. Je trouvais le 400 un peu dur en haut par moment sur certains morceaux, je mettais cela sur le compte de l'enregistrement, cette dureté a tout simplement disparue. On peut jargonner comme pour le vin, aération, charpente et longueur sont là. A quel niveau, va savoir, il me faudrait un P*tr*s comme étalon
C'est sur les voix que je ressens facilement une différence, l'articulation des mots, voire des lettres donne l'impression d'une présence et d'un réalisme étonnant. En fermant les yeux, je "sens" les mots sortir de la gorge.
Il se démarque du 400 sur les messages qui se superposent, la gestion en est plus nette.
"Une main de fer dans un gant de velours" dit M Limas, c'est très bonne conclusion.
écoutons sans œillères.
Georges