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Mission Cyrus Two
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- Enregistré le : sam. 19 oct. 2013 15:20
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Mission Cyrus Two
Bonjour,
Voici la présentation d'un amplificateur intégré : le Mission Cyrus Two
Petit mais costaud cet ampli Anglais au format boite à chaussure affiche un rapport simplicité / efficacité surprenant dans la veine des Onix et Ion Obelisk de la même époque.
Avec ce modèle les concepteurs se sont affranchis de tout ce qui était superflu à leurs yeux :
Le premier modèle produit était dépourvu des réglages de tonalités habituels et de balance. Une led rouge, un bouton de contrôle du volume en façade, un sélecteur de sources et un sélecteur d'enregistrement et pas plus.
Il faut dire qu'avec 21,5 cm de large la façade n'aurait rien accepté de plus.
Je suis tombé sur cet ampli un beau jour de ......... je ne sais plus quand mais cela commence à dater.
Comme j'en ai quelques uns j'en profiterai pour présenter la série complète produite entre 1984 et 1992.
L'ampli en chiffres :
Quelques repères pour commencer :
Les Cyrus Two et One sont issus de la refonte du circuit du "Mission Cambridge 778" produit jusqu'en 1980.
Le 2 a été produit en parallèle du Cyrus 1, c'est une évolution de ce dernier, il en reprend le boitier et le circuit avec quelques changements :
Augmentation de la puissance, portée à 50 W sous 8 Ohms (25 W pour son petit frère) et ajout d'une vraie entrée phono MC. Le One a entrée MM/MC mais la carte n'est pas pourvue des composants de l'étage MC (voir détails en page 4).
Il y a eu (comme pour le One) 3 séries produites avec quelques déclinaisons mineures, dont l'ajout sur les 2 premières versions et seulement sur quelques séries d'une sortie casque tout à fait inutile. En effet les ingés Mission n'ont pas jugé bon de couper la sortie enceintes à l'insertion d'une jack, donc si on le son est diffusé simultanément sur les enceintes et la sortie casque.
Il y a eu 3 versions principales de Cyrus 2 qui n'ont cessé d'évoluer jusqu'à la dernière version. Ces évolutions étaient davantage destinées à corriger les problèmes qu'à apporter un gain.
Notamment la correction d'une erreur de conception sur le circuit de la led de mise sous tension qui provoquait un échauffement du circuit.
Les corrections apportées n'ont pas été consignées sur les schémas. Pour cette raison votre modèle peut légèrement différer de ce qu'annonce le manuel de service.
Comment reconnaitre votre Cyrus 2 ?
- Première version nommée : 06
Production : De mai 1984 à décembre 1987
Boitier plastique, base en acier (tôle embouties) et 2 radiateurs en aluminium.
Électronique : Circuit imprimé en bakélite avec pistes apparentes, Transformateur de 200 VA
Tension des secondaires après redressement : +/- 41VDC sur la section amplification et 18 VDC régulés sur la partie préampli.
Seconde et troisième versions :
Apparition d'un circuit en verre-époxy, +/- 40 VDC sur la section amplification et 18 VDC régulés sur la partie préampli.
- Seconde version : 07 :
Production : De décembre 1987 à aout 1989
Boitier : Interrupteur à poussoir. Il y a eu plusieurs déclinaisons mais l'inter reste à poussoir.
Le bouton de mise sous tension est placé à droite de la façade et l’interrupteur est sur le circuit à gauche de la façade avec un système de renvoi derrière la façade.
Le châssis est en fonte d'aluminium et le capot en acier pour les premiers exemplaires puis les derniers ont un capot en aluminium.
- Troisième version : Tog pour « Toggle Switch » = interrupteur à bascule.
Production : De mai 1989 à septembre 1992
Boitier et châssis en fonte d’aluminium.
Radiateur en fonte d'alu coulé dans la masse avec le châssis
Vendu avec une alimentation optionnelle : La PSX
Le Cyrus 2 était proposé seul ou avec une alimentation séparée optionnelle, la PSX.
Avec un boitier du même format que l'ampli, elle élève la puissance sous 8 Ohms à 70W par canal.
Ceci est possible grâce à un principe assez simple. Le transfo de 500 VA de la PSX n'alimente que la partie puissance de l'ampli. Le transfo de 200 VA de l'ampli alimente quant à lui l'étage de préamplification, dons la partie phono.
La capacité de filtrage de l'ampli, 20 000 Uf est portée à 60 000uF pour la section amplification auxquels s'ajoutent les 20 000uF de la section préamplification.
Place aux images, identification des trois versions de Cyrus Two et des Trois PSX :
Cyrus Two REV 06 :
Châssis en tôle, boitier plastique et inter à poussoir
Cyrus Two REV 07
Dans sa livrée grise :
Châssis en fonte d'aluminium, capot tôle et inter à poussoir.
Dans sa livrée noire avec prise casque
Châssis en fonte d'aluminium, capot en aluminium et inter à poussoir.
Cyrus Two Tog :
Page suivante, Klemp a eu la gentillesse d'insérer les bancs d'essais de la Nouvelle Revue du Son, publiés en Janvier 1986
Voici la présentation d'un amplificateur intégré : le Mission Cyrus Two
Petit mais costaud cet ampli Anglais au format boite à chaussure affiche un rapport simplicité / efficacité surprenant dans la veine des Onix et Ion Obelisk de la même époque.
Avec ce modèle les concepteurs se sont affranchis de tout ce qui était superflu à leurs yeux :
Le premier modèle produit était dépourvu des réglages de tonalités habituels et de balance. Une led rouge, un bouton de contrôle du volume en façade, un sélecteur de sources et un sélecteur d'enregistrement et pas plus.
Il faut dire qu'avec 21,5 cm de large la façade n'aurait rien accepté de plus.
Je suis tombé sur cet ampli un beau jour de ......... je ne sais plus quand mais cela commence à dater.
Comme j'en ai quelques uns j'en profiterai pour présenter la série complète produite entre 1984 et 1992.
L'ampli en chiffres :
Quelques repères pour commencer :
Les Cyrus Two et One sont issus de la refonte du circuit du "Mission Cambridge 778" produit jusqu'en 1980.
Le 2 a été produit en parallèle du Cyrus 1, c'est une évolution de ce dernier, il en reprend le boitier et le circuit avec quelques changements :
Augmentation de la puissance, portée à 50 W sous 8 Ohms (25 W pour son petit frère) et ajout d'une vraie entrée phono MC. Le One a entrée MM/MC mais la carte n'est pas pourvue des composants de l'étage MC (voir détails en page 4).
Il y a eu (comme pour le One) 3 séries produites avec quelques déclinaisons mineures, dont l'ajout sur les 2 premières versions et seulement sur quelques séries d'une sortie casque tout à fait inutile. En effet les ingés Mission n'ont pas jugé bon de couper la sortie enceintes à l'insertion d'une jack, donc si on le son est diffusé simultanément sur les enceintes et la sortie casque.
Il y a eu 3 versions principales de Cyrus 2 qui n'ont cessé d'évoluer jusqu'à la dernière version. Ces évolutions étaient davantage destinées à corriger les problèmes qu'à apporter un gain.
Notamment la correction d'une erreur de conception sur le circuit de la led de mise sous tension qui provoquait un échauffement du circuit.
Les corrections apportées n'ont pas été consignées sur les schémas. Pour cette raison votre modèle peut légèrement différer de ce qu'annonce le manuel de service.
Comment reconnaitre votre Cyrus 2 ?
- Première version nommée : 06
Production : De mai 1984 à décembre 1987
Boitier plastique, base en acier (tôle embouties) et 2 radiateurs en aluminium.
Électronique : Circuit imprimé en bakélite avec pistes apparentes, Transformateur de 200 VA
Tension des secondaires après redressement : +/- 41VDC sur la section amplification et 18 VDC régulés sur la partie préampli.
Seconde et troisième versions :
Apparition d'un circuit en verre-époxy, +/- 40 VDC sur la section amplification et 18 VDC régulés sur la partie préampli.
- Seconde version : 07 :
Production : De décembre 1987 à aout 1989
Boitier : Interrupteur à poussoir. Il y a eu plusieurs déclinaisons mais l'inter reste à poussoir.
Le bouton de mise sous tension est placé à droite de la façade et l’interrupteur est sur le circuit à gauche de la façade avec un système de renvoi derrière la façade.
Le châssis est en fonte d'aluminium et le capot en acier pour les premiers exemplaires puis les derniers ont un capot en aluminium.
- Troisième version : Tog pour « Toggle Switch » = interrupteur à bascule.
Production : De mai 1989 à septembre 1992
Boitier et châssis en fonte d’aluminium.
Radiateur en fonte d'alu coulé dans la masse avec le châssis
Vendu avec une alimentation optionnelle : La PSX
Le Cyrus 2 était proposé seul ou avec une alimentation séparée optionnelle, la PSX.
Avec un boitier du même format que l'ampli, elle élève la puissance sous 8 Ohms à 70W par canal.
Ceci est possible grâce à un principe assez simple. Le transfo de 500 VA de la PSX n'alimente que la partie puissance de l'ampli. Le transfo de 200 VA de l'ampli alimente quant à lui l'étage de préamplification, dons la partie phono.
La capacité de filtrage de l'ampli, 20 000 Uf est portée à 60 000uF pour la section amplification auxquels s'ajoutent les 20 000uF de la section préamplification.
Place aux images, identification des trois versions de Cyrus Two et des Trois PSX :
Cyrus Two REV 06 :
Châssis en tôle, boitier plastique et inter à poussoir
Cyrus Two REV 07
Dans sa livrée grise :
Châssis en fonte d'aluminium, capot tôle et inter à poussoir.
Dans sa livrée noire avec prise casque
Châssis en fonte d'aluminium, capot en aluminium et inter à poussoir.
Cyrus Two Tog :
Page suivante, Klemp a eu la gentillesse d'insérer les bancs d'essais de la Nouvelle Revue du Son, publiés en Janvier 1986
Modifié en dernier par Oupol le jeu. 4 févr. 2016 09:42, modifié 4 fois.
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Re: Mission Cyrus Two
Chaque version disposait d’une alimentation séparée optionnelle : la PSX
Les trois alimentations ont eu les mêmes boitiers et interrupteurs que les amplis auxquels elles étaient dédiées.
Pour rappel : L’adjonction d’une PSX porte la puissance délivrée à 70W sous 8 Ohms contre 50W sans.
Attention si vous en trouvez une à coupler avec votre Cyrus 2 :
Lorsqu’on utilise une PSX il faut impérativement enlever les deux fusibles « lignes » à l’intérieur du boitier parce que dans cette configuration l’alimentation externe fournit le courant à la section amplification et le transfo de l’amplificateur alimente la section préampli. Il faut donc mettre sous tension les deux appareils.
Si on laisse les fusibles on provoque un court-circuit. Une résistance est là pour jouer le rôle de fusible en cas d’oubli.
PSX 06 :
Si vous en trouvez une en bon état gardez là parce que 10 kg posés dans un boitier plastique si petit, ça finit par le faire travailler le petit !
PSX 07 :
Dans sa robe grise :
Dans sa robe noire :
PSX TOG :
Grise :
Noire :
Les trois alimentations ont eu les mêmes boitiers et interrupteurs que les amplis auxquels elles étaient dédiées.
Pour rappel : L’adjonction d’une PSX porte la puissance délivrée à 70W sous 8 Ohms contre 50W sans.
Attention si vous en trouvez une à coupler avec votre Cyrus 2 :
Lorsqu’on utilise une PSX il faut impérativement enlever les deux fusibles « lignes » à l’intérieur du boitier parce que dans cette configuration l’alimentation externe fournit le courant à la section amplification et le transfo de l’amplificateur alimente la section préampli. Il faut donc mettre sous tension les deux appareils.
Si on laisse les fusibles on provoque un court-circuit. Une résistance est là pour jouer le rôle de fusible en cas d’oubli.
PSX 06 :
Si vous en trouvez une en bon état gardez là parce que 10 kg posés dans un boitier plastique si petit, ça finit par le faire travailler le petit !
PSX 07 :
Dans sa robe grise :
Dans sa robe noire :
PSX TOG :
Grise :
Noire :
Modifié en dernier par Oupol le dim. 24 janv. 2016 08:43, modifié 1 fois.
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Re: Mission Cyrus Two
Première présentation, la première version :
Cyrus 2 version 06 :
La connectique :
Le châssis en tôle :
Tour du propriétaire :
Les transistors de puissance, Cyrus PT7 dont Mission a doublé la ligne par rapport au One :
Le transfo et les 2 ventirads rapportés :
Cyrus 2 version 06 :
La connectique :
Le châssis en tôle :
Tour du propriétaire :
Les transistors de puissance, Cyrus PT7 dont Mission a doublé la ligne par rapport au One :
Le transfo et les 2 ventirads rapportés :
Modifié en dernier par Oupol le sam. 23 janv. 2016 18:40, modifié 2 fois.
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Re: Mission Cyrus Two
Suite de version 06 :
Zoom sur la section préampli :
Les connecteurs avec en bleu le connecteur pour l'alimentation optionnelle :
Cette version est ma préférée, la plus "fine" en terme de restitution.
Elle est aussi la moins dynamique, pas dans le sens où elle est molle mais plutôt dans le sens où c'est la version la moins énervée des trois.
Musique et voix restituées sont riches de détails et avec des enceintes adaptées la scène est ample et profonde.
C'est un de mes amplis préférés, probablement à cause de la chaleur de ses médiums.
Pour ceux qui connaissent le One : Le Two c'est un One qui va plus loin partout.
Pour ceux qui connaissent l'Onix OA 21S, le Two est moins chaleureux et plus précis dans tous les registres.
Zoom sur la section préampli :
Les connecteurs avec en bleu le connecteur pour l'alimentation optionnelle :
Cette version est ma préférée, la plus "fine" en terme de restitution.
Elle est aussi la moins dynamique, pas dans le sens où elle est molle mais plutôt dans le sens où c'est la version la moins énervée des trois.
Musique et voix restituées sont riches de détails et avec des enceintes adaptées la scène est ample et profonde.
C'est un de mes amplis préférés, probablement à cause de la chaleur de ses médiums.
Pour ceux qui connaissent le One : Le Two c'est un One qui va plus loin partout.
Pour ceux qui connaissent l'Onix OA 21S, le Two est moins chaleureux et plus précis dans tous les registres.
Modifié en dernier par Oupol le dim. 24 janv. 2016 08:49, modifié 3 fois.
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Re: Mission Cyrus Two
Seconde série : Version 07
Celui-ci avait quelques problèmes, condensateurs HS, patte de tringlerie du renvoi d’interrupteur cassée, une voie muette et l'interrupteur avait été cassé.
Remise en état :
On enlève tout ce qui ne va pas :
Puis recapage, changement des transistors et du potard fichu lui aussi :
Échange des transistors de puissance :
Le vieux à droite :
Les 4 remplacés :
Remonté, réglé en tests :
Notez au passage que la version 07 est munie d'un circuit en verre époxy, exit la bakélite en 1987.
Réparation d'un support de tringle cassé avec une cale à poncer de la même couleur pour rester dans le ton :
Un exemplaire gris à l'origine.
Le gris mat est très fragile et la peinture finit par s’écailler et devient impossible à nettoyer, je l'ai repeint en noir :
En situation :
Celui-ci avait quelques problèmes, condensateurs HS, patte de tringlerie du renvoi d’interrupteur cassée, une voie muette et l'interrupteur avait été cassé.
Remise en état :
On enlève tout ce qui ne va pas :
Puis recapage, changement des transistors et du potard fichu lui aussi :
Échange des transistors de puissance :
Le vieux à droite :
Les 4 remplacés :
Remonté, réglé en tests :
Notez au passage que la version 07 est munie d'un circuit en verre époxy, exit la bakélite en 1987.
Réparation d'un support de tringle cassé avec une cale à poncer de la même couleur pour rester dans le ton :
Un exemplaire gris à l'origine.
Le gris mat est très fragile et la peinture finit par s’écailler et devient impossible à nettoyer, je l'ai repeint en noir :
En situation :
Modifié en dernier par Oupol le dim. 24 janv. 2016 10:27, modifié 6 fois.
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Re: Mission Cyrus Two
Troisième série : Version TOG en détails
Version avec inter à bascule, suppression de l’interrupteur inséré directement sur le circuit et de la tringlerie plastique :
La peinture des modèles noirs est martelée :
A partir de la version 07, le châssis est en fonte d'aluminium et le radiateur est moulé dans la masse du châssis :
J'ai partiellement recapé celui-ci, changé le transfo pour augmenter la tension délivrée et remplacé les borniers RCA qui avaient été malmenés :
Les transistors de puissance :
Version avec inter à bascule, suppression de l’interrupteur inséré directement sur le circuit et de la tringlerie plastique :
La peinture des modèles noirs est martelée :
A partir de la version 07, le châssis est en fonte d'aluminium et le radiateur est moulé dans la masse du châssis :
J'ai partiellement recapé celui-ci, changé le transfo pour augmenter la tension délivrée et remplacé les borniers RCA qui avaient été malmenés :
Les transistors de puissance :
Modifié en dernier par Oupol le dim. 24 janv. 2016 10:35, modifié 2 fois.
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Re: Mission Cyrus Two
Les PSX en détails.
PSX REV 06
A l'arrière, un connecteur unique à raccorder à l'ampli.
Comparaison des circuits des PSX 06 (en haut de l'image) et PSX 07 (en bas de l'image)
A partie de la 07 ajout d'un circuit régulé de 18V prévu pour alimenter simultanément un Cyrus 2 et un Cyrus PCM II (lecteur cd embarquant le TDA 1541)
Les 2 PSX ci-sessous ont été recapées. Sur celle du haut, j'ai du changer le transfo qui donnait de gros signes de faiblesse.
PSX REV 07
Le circuit commun aux PSX 07 et Tog
A l'arrière le cordon et la Din 5 broches qui alimentent l'ampli et à côté l'embase destinée à recevoir le cordon du lecteur PCM II
PSX REV 07
PSX REV 06
A l'arrière, un connecteur unique à raccorder à l'ampli.
Comparaison des circuits des PSX 06 (en haut de l'image) et PSX 07 (en bas de l'image)
A partie de la 07 ajout d'un circuit régulé de 18V prévu pour alimenter simultanément un Cyrus 2 et un Cyrus PCM II (lecteur cd embarquant le TDA 1541)
Les 2 PSX ci-sessous ont été recapées. Sur celle du haut, j'ai du changer le transfo qui donnait de gros signes de faiblesse.
PSX REV 07
Le circuit commun aux PSX 07 et Tog
A l'arrière le cordon et la Din 5 broches qui alimentent l'ampli et à côté l'embase destinée à recevoir le cordon du lecteur PCM II
PSX REV 07
Modifié en dernier par Oupol le lun. 25 janv. 2016 14:44, modifié 2 fois.
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Re: Mission Cyrus Two
PSX suite et fin :
Quelques problèmes rencontrés et leurs solutions :
Recapage nécessaire sur un exemplaire :
Remplacement des 5 broches par des classiques actuels à 2 broches :
Recapage d'une 06 avec remplacement du transfo et adaptation d'une Din 5 broches, celle d'origine avait été cassée :
Le problème le plus marginal et anecdotique, quelqu'un qui avait entrepris un décapage de la peinture au décapeur thermique.
Il avait oublié que la façade comportait un élément en plastique.
Résultat sans commentaire :
Dans les cas extrêmes, solution extrême :
Reconstruction de la façade en résine et fibre de verre :
Un coup de noir satiné, 6 points de colle époxy et ni vu, ni connu :
Dernière photo : Un clone de PSX fait pour un copain qui n'avait pas les finances pour en acheter une au prix auquel elles s'échangent :
Ici au moment de la phase de rodage du montage :
Et pour finir, les pannes rencontrées à partir de 25 à 30 ans, cela reste raisonnable.
Amplis :
Comme pour le One les pannes fréquentes sont par ordre d'importance :
Voici celles qui me viennent à l'esprit, je compléterai après.
Tous modèles :
- Condensateurs chimiques du circuit de régulation HS (c'est lui qui travaille me plus longtemps, il est constamment sous tension, que l'inter soit sur ON ou sur OFF)
- Chimiques de l'étage de puissance HS
- Panne au niveau de la partie puissance, une voie muette après qu'un transistor lâche et entraine avec lui quelques transistors, diodes et résistances.
- Panne de transfo, très exceptionnelle, cela doit représenter de l'ordre de 3 % des Cyrus et PSX révisés ou réparés.
- Les fusibles 4A posés sur les premiers modèles sont surdimensionnés et les surtensions finissent par avoir raison de l'étage de puissance :
Solution : les remplacer par des 3.15A, c'est le meilleurs compromis.
Côté désagréments :
- L'espèce de peinture gris-mat de type "militaire" est poreuse, se tache et se marque puis s'écaille.
- Les trois types d'interrupteurs (06,07, Tog) finissent par lâcher.
Spécifiques REV 07 :
- 2 transistors de l'étage RIAA HS
- Problème de circuit imprimé brûlé et perte de la led de mise sous tension (sous-dimensionnement des résistances chutrices) :
solution : déporter le circuit led hors du circuit et opter pour des résistances de 2 à 3W
- Tringle de renvoi du bouton poussoir de mise sous tension à l'interrupteur du circuit cassée ou voilée : Empêche d'allumer ou éteindre l'ampli.
Spécifique Tog :
Casse de l'interrupteur de mise sous et hors tension. Soit le levier casse, soit les pattes interne lâchent et l'inter n'est plus opérationnel.
C'est le modèle le plus récent en terme de boitier et le mieux optimisé.
Mais les deux autres sonnent mieux, plus clair et incontestablement le 06 est celui qui reproduit le plus de détails.
Pannes alimentations :
Les capas de filtrage finissent par être hors normes et à remplacer ou alors étaient de mauvaise qualité et au delà des tolérances annoncées.
Panne de transfo rencontrée uniquement sur la rev 06

Quelques problèmes rencontrés et leurs solutions :
Recapage nécessaire sur un exemplaire :
Remplacement des 5 broches par des classiques actuels à 2 broches :
Recapage d'une 06 avec remplacement du transfo et adaptation d'une Din 5 broches, celle d'origine avait été cassée :
Le problème le plus marginal et anecdotique, quelqu'un qui avait entrepris un décapage de la peinture au décapeur thermique.
Il avait oublié que la façade comportait un élément en plastique.
Résultat sans commentaire :
Dans les cas extrêmes, solution extrême :
Reconstruction de la façade en résine et fibre de verre :
Un coup de noir satiné, 6 points de colle époxy et ni vu, ni connu :
Dernière photo : Un clone de PSX fait pour un copain qui n'avait pas les finances pour en acheter une au prix auquel elles s'échangent :
Ici au moment de la phase de rodage du montage :
Et pour finir, les pannes rencontrées à partir de 25 à 30 ans, cela reste raisonnable.
Amplis :
Comme pour le One les pannes fréquentes sont par ordre d'importance :
Voici celles qui me viennent à l'esprit, je compléterai après.
Tous modèles :
- Condensateurs chimiques du circuit de régulation HS (c'est lui qui travaille me plus longtemps, il est constamment sous tension, que l'inter soit sur ON ou sur OFF)
- Chimiques de l'étage de puissance HS
- Panne au niveau de la partie puissance, une voie muette après qu'un transistor lâche et entraine avec lui quelques transistors, diodes et résistances.
- Panne de transfo, très exceptionnelle, cela doit représenter de l'ordre de 3 % des Cyrus et PSX révisés ou réparés.
- Les fusibles 4A posés sur les premiers modèles sont surdimensionnés et les surtensions finissent par avoir raison de l'étage de puissance :
Solution : les remplacer par des 3.15A, c'est le meilleurs compromis.
Côté désagréments :
- L'espèce de peinture gris-mat de type "militaire" est poreuse, se tache et se marque puis s'écaille.
- Les trois types d'interrupteurs (06,07, Tog) finissent par lâcher.
Spécifiques REV 07 :
- 2 transistors de l'étage RIAA HS
- Problème de circuit imprimé brûlé et perte de la led de mise sous tension (sous-dimensionnement des résistances chutrices) :
solution : déporter le circuit led hors du circuit et opter pour des résistances de 2 à 3W
- Tringle de renvoi du bouton poussoir de mise sous tension à l'interrupteur du circuit cassée ou voilée : Empêche d'allumer ou éteindre l'ampli.
Spécifique Tog :
Casse de l'interrupteur de mise sous et hors tension. Soit le levier casse, soit les pattes interne lâchent et l'inter n'est plus opérationnel.
C'est le modèle le plus récent en terme de boitier et le mieux optimisé.
Mais les deux autres sonnent mieux, plus clair et incontestablement le 06 est celui qui reproduit le plus de détails.
Pannes alimentations :
Les capas de filtrage finissent par être hors normes et à remplacer ou alors étaient de mauvaise qualité et au delà des tolérances annoncées.
Panne de transfo rencontrée uniquement sur la rev 06

Modifié en dernier par Oupol le lun. 25 janv. 2016 19:12, modifié 2 fois.
- Klemp
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Re: Mission Cyrus Two
Après la présentation du Studer A 730, un autre très beau sujet sur ce Cyrus ...
Merci Eric
As-tu les bancs d' essais parus ..?

Merci Eric
As-tu les bancs d' essais parus ..?
Jean
- pvphil
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Re: Mission Cyrus Two



Philippe ....88 notes et Jazz , Bossa , Nougaro, Compas...