Thorens TD224

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Ce téton est monté sur ressort et rentre dans le plateau à chaque action du bras de transport.

Ca va vous suivez ????.

A suivre aprés la petite page de pub

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Observez également la qualité de fabrication du l'articulation du bras de transport, monté dans un fût de roulement à billes.

Du coté supérieur.

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Et du coté inférieur

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Les supports de stockage font partie d' une piéce séparée, fixée sur la platine principale par des tétons de centrage et un écrou.

La clé de serrage de cet écrou est rangée dessous pour éviter de l' égarer !! Toujours le soucis du détail ...........

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Enfin quelques vues générales de l' automatisme..........

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La prouesse des ingénieurs de chez Thorens tient aussi dans le fait que tout cet automatisme n' est entrainé QUE par le classique moteur utilisé sur les autres modèles de la gamme.

Pendant le fonctionnement de l'automatisme, un second galet viens prendre appui sur la poulie intermédiaire et, par un train d'engrenages, active le système intérieur.

Contrairement à tous les autres changeurs ou platines automatiques de l'époque, la vitesse de fonctionnement de l' automatisme n' est pas calquée sur la vitesse de rotation du plateau.

Voici une vue de l' entrainement, du plateau et de l' automatisme.

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Voyons maintenant du coté du bras de lecture. Tous les amateurs de TD124 auront reconnus le BTD12S.

A la différence de la TD124, ce bras est monté directement sur la platine, un peu à la manière de la TD135.

Par contre, le chassis de la TD224 n' est pas en tole comme celui de la 135, mais dans un type de fonte zamac injectée comme la 124.

Le fût du bras fait partie intégrante du chassis de la platine, comme sur les EMT....

Pendant la lecture, l'automatisme est complètement débrayé, le bras est libre comme un bras manuel.

Il y a deux types de fonctionnement pour la platine, manuel et automatique.

Si on utilise la platine en " manuel ", on peut utiliser le bras de lecture avec des cellules fonctionnant à 1 gramme de force d' appui.

Par contre, en automatique, il n' est pas recommandé de descendre en dessous de 2,5 grammes, car lors de la lecture des derniers sillons,

le secteur de déclenchement de l' automatisme peut freiner les mouvements du bras sur le disque.

C' est à vrai dire le seul défaut que l' on peut lui reprocher.

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Vue de dessous du bras.


On remarque ici le secteur utilisé pour les déplacements du bras par l' automatisme ainsi que le système de court-circuitage de la modulation.

Pour l' anecdote, sur les changeurs de disques genre Garrard, Dual pour ne citer que les plus connus, lors d' un cycle d' automatisme, on compte entre 4 à 5 séquences.....

Sur la Thorens TD224, dans un cycle d'automatisme, il y a 24 séquences ...............................................

No comments ............

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[obelixlefou]

vraiment magnifique et quelle présentation rédigé d'une main de maitre

Jean

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Voici, la première présentation dans la presse de la TD224.

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[Ulysse]

Pour l'avoir vue en action, je dois dire que le mécanisme est d'une précision diabolique ! Nous étions tous pantois quant à sa précision, sa capacité à ne saisir qu'un seul disque...