
La bande n'était pas entrainée car la courroie principale était complètement détendue.
Les ajustables sont bien oxydés mais ça n'a pas l'air de poser problème (je les ai "kéfédeuisé" par sécurité) car j'ai pu faire une enregistrement dont la qualité m'a agréablement surpris car il n'y avait pas de décalage entre les 2 voies ni de pertes d'aigus malgré que les têtes soient elle aussi pas mal usées.
La fonction "timer" est très pratique:
Environ 5 sec après l'allumage de la platine, la touche pause saute et fait démarrer la lecture ou l'enregistrement.
Avec la possibilité de commuter entre les entrées "line" et "DIN" en face avant, on peu par exemple brancher le KD-21D à un ampli avec un câble DIN et une autre platine k7 sur les prises line avec un câble cinch.
Très beaux vu mètres avec 5 leds de peak.
Une photo de la platine en entier avec une belle k7 dedans pour plus tard car plus de batterie dans l'apn ! :cpasmoi!:
La carte avec ses 5 ajustables gère les leds de peak, la petite un peu de travers sert de support pour l'inter du Dolby.
La carte principale.
Il n'y a aucun connecteurs, tous les fils sont soudés mais ceux de la mécanique ont assez de mou pour pouvoir travailler confortablement.
La carte du Dolby que je trouve un peu trop près du transfo (mais bon il n'y a pas de ronflette), à droite la carte principale et au fond le sélecteur de tension (que j'ai oublié de mettre en 240V ! :cpasmoi!: ).
Comme dans la plupart des platines k7 des années 70, le moteur est largement dimensionné.
La petite lamelle de cuivre au dessus du moteur sert de contact de masse pour améliorer la qualité du blindage quand le dessus est monté.
Les avances et retours rapides sont efficaces bien qu'il y ai 4 idlers (le Caikleen RBR à fait des

Remarquez que les ingénieurs de chez JVC ont pensés à tout car la mécanique est fixée avec des vis bleus et l'électonique avec des vis roses pour éviter les "Ikéades" au remontage :mrgreen:
Une bonne mécanique typique des années 70 avec la plupart des pièces en métal.
Au dessus de la poulie du moteur, on voit la roue du compteur équipé d'un aimant rotatif et d'un contact "reed" (on entends bien le petit bruit caractéristique du contact "reed" quand le compteur tourne).
Au dessus du volant du cabestan, bien planqué sous une plaque métallique, il y a le solénoide d'arrêt (ou de démarrage) automatique.